Il joue αvec mon coeur, il triche αvec mα vie , il dit des mots menteurs , & moi je crois tout ce qu'il dit." Je suis perdue sans toi / I can't live without you â™Ș " I'm here and I love you. I have always loved you and I will always love you. " Le contraire de l'amour, Contrairement Ă  ce que tu crois, Ce n'est pas la haine mais l'indiffĂ©rence. Si tu me hais, C'est qu'il y a encore un
RefrĂŁo L'amitiĂ©, c'est pour moi un paysage, OĂč tu viens effacer tes petits nuages, l'amitiĂ©, C'est pas un feu de bois, Ce n'est pas une tape dans le dos, l'amitiĂ©, C'est toi qui ne rĂ©clame pas ce qu'un jour tu m'as donnĂ© L'amitiĂ©, c'est pour moi un paysage si tu veux, On vient et on partage, l'amitiĂ©, c'est pas un feu de bois Ce n'est pas une tape dans le dos, l'amitiĂ©, C'est toi qui ne rĂ©clame pas ce qu'un jour tu m'as donnĂ© Je me suis regardĂ© aujourd'hui dans la glace, Il y a un peu de chagrin dans ma vie Devinez qui vient l'enlever? RefrĂŁo Un matin en hiver te voilĂ  seul au monde, Tu sais bien que tu peux t'appuyer sur moi Je serais toujours lĂ  pour toi RefrĂŁo La, la, la ... ... ce qu'un jour tu m'as donnĂ©
\n \n\n\n \n l amitié c est pour moi un paysage
244Likes, 7 Comments - Nolwenn Leroy (@nolwennleroyofficiel) on Instagram: “"L'amitiĂ©, c'est pour moi un paysage Si tu veux, tu viens et on partage" Petit dĂźner en” Return to the blog of sourir-de-cl0wn *L'amitiĂ© c'est pour moi un paysage, Si tu veux, tu viens et on partage, L'amitiĂ© ce n'est pas un feu de bois, Ce n'est pas une tape dans le dos, L'amitiĂ© c'est toi qui ne rĂ©clames pas, Ce qu'un jour tu m'as donnĂ©. ..P0uet ... Bin une renc0ntre grĂące Ă  m0n cl0wn, une grande amitiĂ©. Tel'ment de b0n m0ment passĂ© avec t0i pis m0n cl0wn. J'vais pas n0n plus en faire des lignes, t'c dĂ©jĂ  t0ut <3 [...] J0u thĂšme Posted on Monday, 25 August 2008 at 718 PMEdited on Thursday, 29 January 2009 at 730 PM Comments Hearts Remix
Dansl'amitiĂ© de mes genoux . Dans l’amitiĂ© de mes genoux propose une expĂ©rience intime et sensorielle qui a pour but de plonger les spectateurs dans une histoire dont ils deviennent les acteurs.. Ce projet vise Ă  dĂ©velopper un imaginaire autour du paysage (qu’il soit rĂ©el, littĂ©raire, mythologique, appartenant au passĂ© ou possible dans l’avenir).
français arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois italien Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liĂ©s Ă  votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liĂ©s Ă  votre recherche Je crois que l'un des scientifiques s'est pris d'amitiĂ© pour moi. Penso di iniziare a piacere ad uno degli scienziati. Je crois que l'un des scientifiques s'est pris d'amitiĂ© pour moi. C'est ça l'amitiĂ© pour moi. Par amitiĂ© pour moi, prĂ©pare une rĂ©ponse. Si tu as un peu d'amitiĂ© pour moi, laisse-moi. Sans vouloir vous offencer, ça ne ressemble pas Ă  une amitiĂ© pour moi. Votre amitiĂ© pour moi faisait aussi partie du stratagĂšme, alors ? Peut-ĂȘtre que j'aimerais savoir que tu ressens un peu plus que de l'amitiĂ© pour moi. Tu as donc encore un peu d'amitiĂ© pour moi ? Perdonami. Poi si cura ancora un po' per me? 26 Je pleure sur toi, Jonathas mon frĂšre; qu'Ă  mes yeux tu Ă©tais beau! ton amitiĂ© pour moi me ravissait plus que l'amour des femmes. 26 Io sono in angoscia per te, fratello mio Gionathan; tu mi eri molto caro, il tuo amore per me era meraviglioso piĂș dell'amore delle donne. Je pense qu'elle s'amuse et qu'elle a de l'amitiĂ© pour moi, et mĂȘme de l'amour, d'une façon inconsciente et adorable. CREDO CHE SI TROVI A SUO AGIO E CHE MI SIA MOLTO AFFEZIONATA, DIREI QUASI INNAMORATA DI ME IN MODO INCONSCIO E INCANTEVOLE. Il s'est pris d'amitiĂ© pour moi. Je sais que tu es plein d'amitiĂ© pour moi ! Conosco la tua profonda amicizia! Plus de rĂ©sultats Ton amitiĂ© est essentielle pour moi. Ton amitiĂ© reprĂ©sente trop pour moi. Je... Ton amitiĂ© reprĂ©sente beaucoup pour moi. Volevo solo - la tua amicizia significa tantissimo per me. Notre amitiĂ© compte pour moi, Thora. Je n'avais pas rĂ©alisĂ© combien notre amitiĂ© comptait pour moi et... Solo adesso ho realizzato quello che la tua amicizia significa per me, e... Écoute, j'espĂšre que tu rĂ©alises Ă  quel point notre amitiĂ© compte pour moi. Senti, spero tu sappia che per me la nostra amicizia Ăš importantissima. Aucun rĂ©sultat pour cette recherche. RĂ©sultats 10688. Exacts 14. Temps Ă©coulĂ© 246 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots frĂ©quents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200
Henriet Idriss Agnel, accompagnĂ©s de Didier Malherbe vous proposent un voyage musical jazz et musique du monde le vendredi 23 juillet Ă  19h sous les vestiges de l'ancienne Ă©glise Saint-Jean, place Saint-Jean Ă  Verneuil-sur-Avre. AccĂšs libre et gratuit. En cas de pluie, le concert sera dĂ©placĂ© dans la Salle Temmen, 103 Avenue Maurice de Vlaminck (MJC). sentiment, inclination rĂ©ciproque entre deux personnes amies L'amitiĂ© est une inclination rĂ©ciproque entre deux personnes ou plus n'appartenant pas Ă  la mĂȘme famille. CitationsModifier Gabriele D'AnnunzioModifier Il parlait avec un fluide abandon, car il voyait l’esprit de la femme attentive se faire concave comme un calice pour recevoir cette onde et voulait le remplir jusqu’au bord. Une fĂ©licitĂ© spirituelle de plus en plus limpide se rĂ©pandait en lui, jointe Ă  une conscience vague de l’action mystĂ©rieuse par oĂč son intelligence se prĂ©parait Ă  l’effort prochain. De temps Ă  autre, comme dans un Ă©clair, tandis qu’il se penchait vers cette amie seule et entendait la rame mesurer le silence du large estuaire, il entrevoyait l’image de la foule aux visages innombrables, pressĂ©e dans la salle profonde ; et un tremblement rapide lui agitait le cƓur. Le Feu, Gabriele D'Annunzio, Ă©d. La Revue de Paris, 1900, chap. I. L'Ă©piphanie du feu, p. 14 AristoteModifier [
] l’individu est son propre ami plus Ă©troitement que qui que ce soit ; et c’est lui-mĂȘme surtout qu’il devrait aimer. Jacques Boularan, dit Jacques DevalModifier L'amitiĂ© vit de silence, l'amour en meurt. Afin de vivre bel et bien, Jacques Deval, Ă©d. Albin Michel, 1969, p. ad Denis DiderotModifier Un plaisir qui n’est que pour moi me touche faiblement et dure peu. C’est pour moi et pour mes amis que je lis, que je rĂ©flĂ©chis, que j’écris, que je mĂ©dite, que j’entends, que je regarde, que je sens. Dans leur absence, ma dĂ©votion rapporte tout Ă  eux. Je songe sans cesse Ă  leur bonheur. Une belle ligne me frappe-t-elle ; ils la sauront. Ai-je rencontrĂ© un beau trait, je me promets de leur en faire part. Ai-je sous les yeux quelque spectacle enchanteur, sans m’en apercevoir je mĂ©dite le rĂ©cit pour eux. Je leur ai consacrĂ© l’usage de tous mes sens et de toutes mes facultĂ©s ; et c’est peut ĂȘtre la raison pour laquelle tout s’exagĂšre, tout s’enrichit un peu dans mon imagination et dans mon discours. Ils m’en font quelquefois un reproche ; les ingrats ! À propos des Ɠuvres de Vernet. Ruines et Paysages - Salon de 1767 » 1767, dans Salons, Denis Diderot, Ă©d. Hermann, 1995, t. III, p. 194 Henry GrĂ©villeModifier Lorsque l'amitiĂ© n'est plus utile, sa dignitĂ© exige qu'elle se retire. Le voeu de Nadia, Henry GrĂ©ville, Ă©d. Ă©ditions Plon, Nourrit et cie, 1883, p. 248 AgnĂšs JaouiModifier Le plus beau dans l’amour, ça devrait ĂȘtre l’amitiĂ©. Ce n’est pas forcĂ©ment un Ă©chec si une histoire se de la rĂ©ponse Ă  la question Sur la question du couple, le constat du film est assez implacable. Pensez-vous qu’il y a une date de pĂ©remption inĂ©vitable ? ». AgnĂšs Jaoui LA DOUCEUR DE VIVRE », Karelle Fitoussi, Paris Match ISSN 0397-1635, nÂș 3301, du 23 au 29 aoĂ»t 2012, p. 7 Ă  9 Stephen KingModifier Peut-ĂȘtre que ces histoires de bons et mauvais amis, cela n'existe pas ; peut-ĂȘtre n'y a-t-il que des amis, un point c'est tout, c'est-Ă -dire des gens qui sont Ă  vos cĂŽtĂ©s quand ça va mal et qui vous aident Ă  ne pas vous sentir trop seul. Peut-ĂȘtre vaut-il toujours la peine d'avoir peur pour eux, d'espĂ©rer pour eux, de vivre pour eux. Peut-ĂȘtre aussi vaut-il la peine de mourir pour eux, s'il faut en venir lĂ . Bons amis, mauvais amis, non. Rien que des personnes avec lesquelles on a envie de se trouver ; des personnes qui bĂątissent leur demeure dans votre cƓur. Ça, Stephen King trad. William Olivier Desmond, Ă©d. Albin Michel, 1990 ISBN 2-226-03454-4, t. 2, p. 149 Anatoli LiadovModifier Je me suis senti trĂšs proche de lui et des siens. J'ai vĂ©cu un grand pan de ma vie avec lui, et toutes nos disputes n'ont Ă©tĂ© que l'Ă©cume apportĂ©e par la bĂȘtise de la vie. Ces propos appartienent Ă  Anatoli Liadov. Compositeur ami de Rimski-Korsakov, il venait alors de lui rendre visite et l'avait trouvĂ© particuliĂšrement de ma vie musicale, NikolaĂŻ Rimski-Korsakov trad. AndrĂ© Lischke, Ă©d. Fayard, 2008 ISBN 9782213635460, p. 410 Citation choisie pour le 4 octobre 2019. Jean-Jacques RousseauModifier Eh bien ! belle madame, ai-je tenu parole, et mon triomphe est-il complet ? Allons, qu'on se jette Ă  genoux, qu'on baise avec respect cette lettre, et qu'on reconnaisse humblement qu'au moins une fois en la vie Julie de Wolmar a Ă©tĂ© vaincue en amitiĂ©. Julie ou La nouvelle HĂ©loĂŻse 1761, Jean-Jacques Rousseau, Ă©d. Garnier-Flammarion, coll. GF Flammarion », 1967 ISBN 2-08-070148-7, partie IV, Lettre II. RĂ©ponse de Madame d'Orbe Ă  Madame de Wolmar, p. 307 Jules VerneModifier [
] L’amitiĂ© ne saurait exister entre deux ĂȘtres parfaitement identiques. Cinq Semaines en Ballon 1863, Jules Verne, Ă©d. Hetzel, coll. Les Mondes Connus et Inconnus », 1867, chap. III, p. 10 Citation choisie pour le 18 novembre 2019. Antoine BelloModifier L'exigence fait la valeur de l'amitiĂ©. Mariama BĂąModifier L'amitiĂ© a des grandeurs inconnues de l'amour. Elle se fortifie dans les difficultĂ©s, alors que les contraintes massacrent l'amour. Une si longue lettre, Mariama BĂą, Ă©d. Les Classiques Africains, coll. Encre Noire », 2006 ISBN 2-7571-0040-8, chap. 16, p. 66 Michel de MontaigneModifier Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en rĂ©pondant Parce que c'Ă©tait lui, parce que c'Ă©tait moi ».Évoquant son amitiĂ© avec Étienne de La BoĂ©tie. Citation choisie pour le 1 mai 2014. ProverbesModifier Les petits cadeaux entretiennent les grandes françaisit Ti amerĂČ per sempre, Piero Angela, Ă©d. Mondadori, 2005 ISBN 88-04-51490-6, p. 194 Citation choisie pour le 12 fĂ©vrier 2014. Vous pouvez Ă©galement consulter les articles suivants sur les autres projets WikimĂ©dia L'amitiĂ© c'est pour moi un paysage Si tu veux, tu viens et on partage L'amitiĂ© ce n'est pas un feu de bois Ce n'est pas une tape dans le dos L'amitiĂ© c'est toi qui ne rĂ©clames pas Ce qu'un jour tu
Tout est dans le titre "l'amitiĂ©, c'est trop compliquĂ© pour moi". Il faut croire que je suis pas assez douĂ© pour savoir garder mes amis. Et pourtant, j'en ai vraiment peu...J'ai toujours Ă©tĂ© naĂŻve finalement. Je me suis toujours trop donnĂ©, trop impliquĂ© dans des relations qui, au final, ne m'ont menĂ© a rien. Rien de plus qu'une tristesse et qu'un grand vide quand la rupture eut Ă©tĂ© annoncĂ©. Du plus loin que je me souvienne, j'ai jamais Ă©tĂ© vraiment entourĂ© d'amies. Ca n'a jamais Ă©tĂ© mon fort les relations humaines. Quand j'Ă©tais petite, j'avais une meilleur copine, Cynthia. Elle est partie quand on avait 7 ans vivre en rĂ©gion parisienne. J'ai attendu longtemps avant de m'intĂ©grer dans un groupe. J'Ă©tais en 4eme quand j'ai eu ma premiĂšre "meilleur amie", Ă©tait une fille sympa, qui avait une vie pas trĂ©s cool du fait que ses parents Ă©taient sĂ©parĂ©. Je me sentais un peu privilĂ©giĂ© par rapport a elle, car j'avais des parents unis, et qui avait un peu plus de moyens que les siens. J'ai vraiment tout fais pour elle. J'ai tout donnĂ©. Je lui donnais tout mes habits trop petits, je lui donnais des objets pour dĂ©corĂ© sa petite chambre... Plus tard, je faisais des bornes et des bornes en voiture pour aller la chercher a droite, a gauche... J'avais des dĂ©passement de forfait exorbitant en tĂ©lĂ©phone avec pour seul numĂ©ro d'appel le sien. Je payait tout durant nos sorties entrĂ©e de boites, verres..., je lui payais presque son tabac tout les weekend. Lorsque j'habitais a Paris, elle est venu me voir. Idem pour ces sorties la... J'ai vraiment "aimĂ© sans compter". Mais je crois qu'on a pris des chemins diffĂ©rent a un moment donnĂ©. Elle est tombĂ© dans les soirĂ©s a rĂ©pĂ©tition, l'alcool, la drogue, le sexe avec n'importe qui... Un jour, elle m'a invitĂ© a une soirĂ© chez elle, pour son anniversaire. Étant timide avec un cotĂ© associable, sachant que je ne connaitrais personne et que ce serait une beuverie alors que je ne bois pas, j'ai dĂ©cidĂ© de ne pas y aller. Je me suis dĂ©cidĂ© le soir mĂȘme. Seulement je n'ai pas voulu lui plombĂ© sa soirĂ© en lui annonçant ca. Elle l'a trĂšs mal pris et ne m'a plus jamais parlĂ©. Voici comment se sont terminĂ© sept annĂ©es d'amitiĂ©. Sept annĂ©es ou j'ai trop donnĂ©, sans jamais recevoir. Un jour, j'ai tentĂ© de reprendre contact avec elle. Je lui ai dis qu'avec tous ce que j'avais fait pour elle, j'aurai apprĂ©ciĂ© qu'elle fasse un effort, pour essuyer cette soirĂ©. Elle m'a dit que durant toutes ses annĂ©es, elle m'avait Ă©coutĂ© parlĂ© et que c'Ă©tait dĂ©jĂ  pas mal. Voila. Une grande ca, j'ai Ă©normĂ©ment de mal a m'impliquer dans des relations amical. J'essai, par moment, de me sociabiliser un peu. Mais dĂšs que ca devient "trop sĂ©rieux", je m'Ă©loigne, je me braque. Trop peur d'ĂȘtre encore le dindon de la farce, d'ĂȘtre encore déçus. Peu de gens comprenne ca. Parce que peut ĂȘtre eux ne sont pas aussi associable que moi, peut ĂȘtre eux n'ont jamais Ă©tĂ© déçus a ce point. Peut ĂȘtre qu'ils n'ont jamais ressenti le besoin de s'impliquer autant dans leur relation amical, et de ce fait ne sont jamais tombĂ© d'aussi suis dĂ©solĂ©, mon lecteur, si j'ai du mal a faire des articles joyeux en ce moment. Je ne sais pas si ce sont ses saloperies d'hormones qui me jouent de sales tours. Mais j'espĂšre que ca passera !A bientĂŽt !
ï»żLamitiĂ©, c'est un paysage si tu veux,viens et on partage @amelbent #aboutlastnight. Edited · 46w. carobodyjam. Tu es une trĂšs belle personne Christophe . Je ne te cĂŽtoies pas mais ce que j'ai vu de toi dans les mĂ©dias m'a beaucoup plu. Tu ne triches pas . 46w. Reply. barrymoore. Verified. . 46w. 5 likes. Reply. laetitiaguerriere38. Super beau. 46w.

Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Les couloirsPage 1 sur 1Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [AbandonnĂ©]Elida CesteroSerdaigle Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [AbandonnĂ©]Elida Cestero, le Mar 24 Mar - 1339 Saison 30 - PrintempsEn haut de la tour d'AstronomieAvec SoleyaLe temps est une chose difficile Ă  prĂ©voir, simple Ă  imaginer mais l’imagination ne fait pas tout. Quand la lune se lĂšvera-t-elle et le soleil se couchera-t-il ? Les deux sont indĂ©pendants et pourtant si dĂ©pendants dans l’esprit. Un enfant s’imagine que les deux sont liĂ©s, que la nuit et le jour ne se mĂȘlent jamais, il s’étonne ensuite de voir en plein jour un morceau de lune. C’est assez relatif ce rapport de nuit et jour, de soleil et lune. Car on dit aussi que la nuit est lĂ  quand le ciel est noir et les Ă©toiles visibles. Mais quand sont rĂ©ellement visibles les Ă©toiles ? Peut-ĂȘtre n’a-t-on simplement pas les bons yeux pour voir nos Ă©toiles de jour. Et qu’est-ce que ce moment oĂč le ciel prend les couleurs de l’arc-en-ciel ? Le place-t-on dans le jour ou dans la nuit ? C’est un peu un entre-deux, mais entre deux quoi ? Qu’est-ce rĂ©ellement la nuit et qu’est-ce rĂ©ellement le jour ? Que sont la lune, le soleil et les Ă©toiles ? L’espace et les planĂštes, l’infini et l’horizon ?Je crois que les gens trouvent ça bizarre de me voir encore une fois appuyĂ©e sur une fenĂȘtre, le regard tantĂŽt dehors tantĂŽt sur mon carnet dans lequel ma main, armĂ©e d’un crayon, gribouille sans cesse. Aujourd’hui j’écris des mots en pagaille, je dessine des lettres reliĂ©es ou non. C’est brouillon pour les autres, clair pour moi, car mon carnet est mon esprit et un esprit ne se comprend que par le propriĂ©taire, et encore mĂȘme ça c’est compliquĂ© parfois. Ces gens devraient prendre l’habitude, je suis souvent lĂ  aprĂšs tout, mais pour les rares qui m’aperçoivent c’est une position Ă©trange, une activitĂ© Ă©trange, plus Ă©trange encore que de dessiner ce que je vois dans mes yeux et mon le ciel est clair, limpide, dĂ©couvert de tout nuages, la lune est discrĂšte, simple croissant blanc sur lequel le Pierrot dort, vous le voyez ? Non Ă©videmment, ne cherchez pas avec vos yeux mais avec votre esprit
 Il a sa canne, il veut attraper les Ă©toiles pourtant inaccessibles, si inaccessibles qu’il finit par fermer les yeux dans son attente en patience. Petit bonhomme blanc plongĂ© dans un silence connu de beaucoup d’enfants. D’ici on le voit peut-ĂȘtre mal
 Et si j’allais le voir de plus prĂšs ? Notre tour est dĂ©jĂ  bien haute, mais il paraĂźt que celle d’astronomie l’est encore plus. La plus haute de l’école, la plus proche des Ă©toiles. De lĂ -haut, on est si proche et pourtant si loin
Traverser la Salle Commune, carnet et crayon presque Ă©ternellement attachĂ©s dans mes mains, puis traverser l’école, et trouver la tour des Ă©toiles. Je ne suis pas encore trĂšs Ă  l’aise dans l’école, mĂȘme si je connais bien des chemins il m’arrive encore d’hĂ©siter. Et pourtant, mes pas viennent d’eux-mĂȘmes, et heureusement d’ailleurs, j’ai ma tĂȘte dĂ©jĂ  perdue dans le ciel, elle joue dans les Ă©toiles et adresse un bonjour muet au petit bonhomme de la lune. Et je monte, petits pieds discrets sur le sol, il ne faut pas se faire gronder mĂȘme si ce n’est pas l’heure du couvre-feu a-t-on le droit d’aller tout en haut ? Si c’est comme la ForĂȘt Interdite, ça ne veut rien dire. Les droits et interdictions sont comme le soleil et la lune, la nuit et le jour, des choses mal dĂ©finies. Alors je je m’installe, il fait un peu froid ici par les caprices printaniers qui laissent apparaĂźtre quelques fois le gel sur l’herbe du matin. C’est que la Tour d’Astronomie est faite pour observer les Ă©toiles, alors il faut qu’on ait un bon accĂšs au ciel ! Et le carnet se rouvre sur les genoux pliĂ©s, jambes croisĂ©es et moi assise directement sur le sol. Le crayon tourne pensivement dans la main, l’esprit hĂ©site. Dessiner ou Ă©crire ? Le regard levĂ© vers le croissant oĂč dort le bonhomme blanc, je souris soudainement. Il a ouvert les yeux ! Il se penche et cherche – me voit-il ? Je l’imagine remuer sa canne Ă  pĂȘche, appeler une Ă©toile. Sa bouche s’ouvre, mais aucun son n’en sort, seul celui de la nuit Ă  peine tombĂ©e s’élĂšve. Soleya McLaughlinSerdaigle DC Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [AbandonnĂ©]Soleya McLaughlin, le Lun 30 Mar - 1426 Comme un besoin de s’évader, d’observer le ciel dans le silence de la nuit. N’était-ce pas lĂ  l’activitĂ© favorite d’une passionnĂ©e d’Astronomie ? Se perdre dans les mystĂšres de ce qui se trouvait juste au-dessus de nos tĂȘtes. Un paysage imposant qui n’avait pourtant pas l’attention qu’il mĂ©ritait. Il Ă©tait lĂ , on le voyait, mais personne ne s’en souciait. Les Ă©toiles brillent par milliers. Elles scintillaient les unes aprĂšs les autres de maniĂšre alĂ©atoire. La jeune femme ne peut s’empĂȘcher de penser que d’autres personnes dans le pays, dans le monde les observaient aussi et en admiraient leur beautĂ©. Si la nuit Ă©tait pour beaucoup un synonyme d’angoisse, pour Soleya, c’était au contraire lĂ  qu’elle trouvait l’inspiration, les rĂ©flexions Ă©taient intenses, le cerveau en Ă©bullition. La lune l’observe et l’éclaire. Elle l’imagine ĂȘtre lĂ , juste pour elle. Pourtant, tandis que la Brune arrive au niveau de la Tour d’Astronomie, c’est une autre silhouette qui l’attire dans un premier temps. Une jeune, trĂšs jeune fille qui semblait se perdre elle aussi dans la contemplation. Qu’est-ce qui lui venait en tĂȘte Ă  cet instant ? Serait-ce l’image simple d’un croissant de lune dessinĂ©e sur un fond sombre dĂ©gradĂ© ? Ou avait-elle l’imagination nĂ©cessaire pour voir bien plus loin que ça. À cet Ăąge, la crĂ©ativitĂ© pouvait parfois dĂ©passer celle des plus grands, puisque les adolescents avaient tendance Ă  ne pas regarder les choses, ils les voyaient, mais ne prenaient pas le temps d’en observer le fond. Soleya n’ose pas la dĂ©ranger pour le moment, elle se contente de fermer les yeux afin de profiter pleinement de ce calme, de la vue sur un parc dĂ©sert. Juste l'histoire de quelques petites aprĂšs une lĂ©gĂšre inspiration que la jeune femme lui fait part de sa prĂ©sence. Un souffle lĂ©ger, un soupire. Ça t’inspire ? Pas de questions sur sa prĂ©sence ici Ă  cette heure-lĂ . Elle n'Ă©tait pas le genre de personnes Ă  gĂącher le plaisir des autres par des propos qui sonnaient faux dans les oreilles. Vous savez, comme une mĂ©lodie dont les fausses notes sont fines et pourtant bien prĂ©sentes. Elle ne veut pas la tirer de ses rĂȘveries, ni de pourquoi elle semble si attirĂ©e par la lune. Seulement partager. Qu’il y a-t-il Ă  cet instant dans la tĂȘte d’une enfant ? Je suis Soleya, je ne crois pas que l’on se soit prĂ©sentĂ©e toutes les deux. Et pourtant, elle la savait de sa maison, l’ayant dĂ©jĂ  croisĂ©e dans la salle commune. Elida CesteroSerdaigle Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [AbandonnĂ©]Elida Cestero, le Sam 4 Avr - 1005 Un fin croissant blanc, c’est ce qu’est la lune aujourd’hui. Parfois elle est ronde, belle, lumineuse, parfois on ne la voit pas. C’est de l’astronomie ça, j’ai dĂ©jĂ  lu comment ça fonctionne dans un livre. La nature le fait seule, comme une grande. Sauf que c’est trĂšs scientifique, rien de trĂšs magique ni imaginaire. MĂȘme si pour avoir dĂ©couvert tant de secrets de l’univers, il faut dĂ©jĂ  avoir une sacrĂ© imagination pour trouver comment faire. Mais moi, aujourd’hui, je prĂ©fĂšre rĂȘver. Pas lire un livre sur la "vĂ©ritĂ©" ni me rappeler les mots Ă©crits, juste imaginer ce petit bonhomme blanc qui rĂȘve aussi sur son croissant de lune. Le petit Pierrot a dormi, maintenant il est en forme, prĂȘt Ă  jouer. Pas avec les humains, notre sort lui est certainement Ă©gal puisque lui a cette chance de vivre loin de tout, loin du bruit et des mĂ©chancetĂ©s. Beaucoup ne le voient pas, ils se voient entre eux, personnes Ă©goĂŻstes trop occupĂ©es pour rĂȘver. Mais l’habitant de la lune ne nous voit pas non plus, il est bien entourĂ© lĂ -haut entre Ă©toiles et planĂštes. Un ciel a largement de quoi s’amuser et soupir et une voix me font tourner la tĂȘte, laissant le bel ami jouer tranquillement je pose mon regard sur la personne prĂ©sente. Une fille, plus vieille que moi. Une Serdaigle a l’air intĂ©ressĂ© par sa question. Il n’y a pas de suite les mots polis qu’on Ă©change lors d’une rencontre inattendue. Pas de paroles inutiles qui demandent ce qu’on fait lĂ  ou si tout va bien. Juste une question curieuse et intĂ©ressĂ©e. Alors je lui souris, je lui rĂ©ponds Oui» timide tout en l’observant un peu plus. Elle n’a pas l’air mĂ©chante, elle ne semble pas avoir cette lueur qui prĂ©vient qu’elle est prĂȘte Ă  se moquer. Ça me rappelle cette fille une fois, une plus grande aussi avec qui j’ai dessinĂ© une fois. Un Ă©change de connaissances, d’idĂ©es, de goĂ»t, de rĂȘves et de rĂ©alitĂ©. Cette inconnue a-t-elle envie de faire ça, elle aussi ? Je crois que ça ne me dĂ©rangerait pas. Mais pour ça, je lui propose d’abord Assis-toi si tu veux.», qu’elle se mette Ă  la bonne hauteur puisqu'elle a l'air intĂ©ressĂ©e. Si elle reste debout, elle risquerait de ne pas bien voir. Il y a Pierrot aujourd’hui.» Je souris Ă  nouveau, contente. J’aime bien le petit bonhomme lunaire. Calme, silencieux, muet. Et pourtant si rĂȘveur ! Je ne sais pas si elle le verra, si elle voit. Parfois, les grands manquent d’imagination. Mais si elle est lĂ , c’est bien parce qu’elle aime le ciel, non ? La tour d’astronomie est aussi haute pour qu’on puisse bien voir les Ă©toiles, et mĂȘme certaines planĂštes avec un peu de la grande se prĂ©sente, elle s’appelle Soleya. Son prĂ©nom me rappelle le soleil, sol soleya, c’est joli. Je fais un petit non de la tĂȘte lorsqu’elle dit qu’on ne s’est jamais prĂ©sentĂ©. Je ne me prĂ©sente pas comme ça aux gens, mĂȘme aux autres Serdaigles comme elle, il ne faut pas aller trop loin non plus. Je me prĂ©sente si c’est nĂ©cessaire et si on me le demande, et comme elle s’est prĂ©sentĂ©e je le fais aussi. Retour de politesse. Moi, c’est Elida.» Elida, Soleya, ça finit pareil. Comme ElhĂ«na. Tous ces prĂ©noms qui se ressemblent sans se ressembler ! Est-ce qu’il a un lien avec le soleil ton prĂ©nom ?» Par pure curiositĂ©, je lui pose cette question. Parce que ça me rappelle l’espagnol – cette langue de l’enfance. Je n’ai jamais posĂ© cette question au bonhomme blanc. Pourtant, Pierrot est un drĂŽle de prĂ©nom. Mais ça ne servirait Ă  rien de lui demander. Il ne m’entendrait pas je crois, alors je ne l’entendrais pas non plus. Et puis, c’est pas gentil de dĂ©ranger une personne qui s’amuse
 Soleya McLaughlinSerdaigle DC Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [AbandonnĂ©]Soleya McLaughlin, le Jeu 23 Avr - 1606 Un sourire angĂ©lique et une douce voix lui rĂ©pond, un rayon de soleil qui contrastait avec l’obscuritĂ© de cette sombre soirĂ©e. Timide, rĂȘveuse, pleine d’imagination, cette petite lui rappelait elle-mĂȘme au mĂȘme Ăąge, Ă  son arrivĂ©e Ă  Poudlard. Les yeux Ă©merveillĂ©s, remplis d’étincelles, pĂ©tillants Ă  la vue de la lumiĂšre du chĂąteau. Un endroit digne d’un rĂȘve, un lieu oĂč chaque enfant, mĂȘme moldu, rĂȘverait de se rendre. C’était fou comme les rĂȘves de ceux dĂ©pourvus de pouvoirs magiques pouvaient s’avĂ©rer vrais ici. Les sorciers, principalement les enfants, vivaient la vie rĂȘvĂ©e d’un jeune moldu dĂ©sireux de voir ses contes de fĂ©es devenir une rĂ©alitĂ©. Les sorciers rĂȘveurs allaient beaucoup plus loin que cela. LĂ  Ă©tait la vĂ©ritable magie. Spirituelle, qui sortait de chacun d’ en lui rendant son sourire que la jeune femme s’installe auprĂšs d’elle qui lui parle de Pierrot. Un personnage trĂšs ancien, trĂšs probablement oubliĂ© par la plupart des personnes de notre siĂšcle, adultes comme enfants. La commedia dell’arte, théùtre italien, Ă©poque oĂč Pierrot a vu le jour, datait d’il y a des siĂšcles et des siĂšcles aujourd’hui. Pourtant, son prĂ©nom sortait encore de la bouche de certaines personnes, les plus rĂȘveurs comme lui, tout comme les plus tristes, peut-ĂȘtre. Puisque ça restait lĂ , l’image renvoyĂ©e par ce personnage noir et blanc. Soleya suit alors son regard, plisse les yeux pour ne louper aucun dĂ©tail. C’est fou comme on pouvait en voir des choses si on s’en donnait les moyens. Son regard jeune renvoyait des images crĂ©atives, elle semblait avoir l’ñme d’une artiste. Un talent Ă  ne surtout pas nĂ©gliger. Tu as un joli prĂ©nom. Elle sourit avant de continuer, Ă  vrai dire, la douce voix berce le vent, c’est la raison pour laquelle on m’a attribuĂ© ce prĂ©nom, pour la consonance qui rappelle le soleil. C’est toujours ce que ma mĂšre disait. La Bleue se perd dans l’obscuritĂ© naissante. Pour couronner le tout, mon deuxiĂšme prĂ©nom, Luaine, signifie la lune. À croire que ce choix de prĂ©noms a dĂ©cidĂ© lui-mĂȘme que je me passionnerais plus tard pour l’astrologie. Cela avait Ă©tĂ© un joli yeux se perdent de nouveau sur la lumiĂšre lunaire, les Ă©toiles scintillent Ă  ses cĂŽtĂ©s. Tu devrais dessiner ce que tu vois, si tu ne le fais pas habituellement. Soleya n’avait pas cette capacitĂ© Ă  pouvoir mettre son imagination sur papier. Alors, elle faisait toujours en sorte d’encourager ceux qui avaient la possibilitĂ© de retranscrire leurs pensĂ©es. Elida CesteroSerdaigle Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [AbandonnĂ©]Elida Cestero, le Ven 24 Avr - 1822 Il y a quelques moments oĂč la prĂ©sence d’Autres ne me dĂ©range pas tant que ça, car ce sont ces moments oĂč l’on sait me parler sans effacer toutes mes pensĂ©es, en leur laissant au contraire une place importante comme maintenant dans la question de la grande lorsqu’elle est arrivĂ©e. Elle s’est interrogĂ© sur cette nuit dĂ©gagĂ©e dont mes yeux se rĂ©galent pour remplir l’esprit de petites histoires, de petits rĂȘves nocturnes et lunaires. C’est peut-ĂȘtre pour ça qu’au lieu de me contenter d’un regard curieux comme souvent, qu’au lieu de l’ignorer ou de rester mĂ©fiante au point de ne pas rĂ©pondre, je lui fais un sourire, je lui rĂ©ponds et mĂȘme lui propose de s’installer. Bonne ou mauvaise idĂ©e ? On verra. J’ai envie qu’elle aussi arrive Ă  voir le Pierrot dont je lui parle alors qu’elle s’assoit Ă  son tour, souriante elle aussi, j’ai envie qu’en tant que grande elle essaie de le voir, pour savoir si en grandissant je ne perdrais pas cette imagination car pour l’instant tous ces grands que j’ai entendu et Ă©coutĂ© n’ont jamais eu l’air de beaucoup rĂȘvasser. Je n’ai pas envie de perdre ce goĂ»t pour les couleurs, les plantes, les animaux, les Ă©toiles et le ciel. Non, je ne veux rien perdre de tout ça. Il doit certainement ĂȘtre possible d’aimer tout ça tout en Ă©tant plus grand
Alors je me prĂ©sente moi aussi puisqu’elle le fait, elle qui a un si joli prĂ©nom qui commence comme le soleil espagnol. Elle trouve que mon prĂ©nom aussi est joli et elle sourit encore, un joli sourire avant d’expliquer son prĂ©nom comme je le lui demande. Elle parle de sa maman qui lui expliquait pourquoi elle s’appelle ainsi, elle confirme Ă  peu prĂšs ce que je pensais Soleya est en lien avec soleil. La boule jaune qui brille et rĂ©chauffe depuis le ciel, celle autour de laquelle nous tournons et dont nous avons plutĂŽt l’impression que c’est elle qui tourne. On dit souvent d’une personne joyeuse et souriante qu’elle est un rayon de soleil
 La Serdaigle fait-elle partie de ces gens-lĂ  ? La voix douce et agrĂ©able, le sourire presque prĂ©sent tout le temps depuis son arrivĂ©e, ce sont ces caractĂ©ristiques-lĂ  qu’ont les rayons de soleil vivants si j’en crois mes livres. La grande poursuit, aprĂšs le soleil vient la lune car elle a un deuxiĂšme prĂ©nom qui est liĂ© Ă  la lune. ÉmerveillĂ©e par cet ensemble de prĂ©noms auparavant inconnus et pourtant si beaux, je fais Ă  la jeune fille un grand sourire un peu rĂȘveur alors qu’elle ajoute que ces deux prĂ©noms qui sont comme les deux astres importants autour de la Terre ont peut-ĂȘtre aidĂ© Ă  la passionner ainsi d’Astrologie. On a vu en cours d’Astronomie ce qu’était l’Astrologie, je l’ai lu aussi dans des livres. Une sorte de science qui lie le futur avec les astres. Selon la place des planĂštes dans le ciel Ă  notre naissance, mĂȘme qu’on a dessinĂ© une carte du ciel en cours. D’ailleurs, il faudra que je pense Ă  amener ma copie au professeur. Ils sont vraiment trĂšs beaux tes deux prĂ©noms !» Moi, je ne sais pas pourquoi je m’appelle Elida, je n’ai jamais posĂ© la question Ă  mes retourne Ă  la lune, le regard concentrĂ© veut continuer de voir le petit bonhomme lunaire. Je l’imagine bien rĂ©ussir Ă  attraper une Ă©toile, il en serait si heureux ! Je ne sais pas trop pourquoi il en veut une, peut-ĂȘtre souhaite-t-il pouvoir les observer d’encore plus prĂšs ? C’est vrai que c’est mystĂ©rieux, toutes ces petites formes blanches et lumineuses dans le ciel
 Mais leur place est lĂ -haut, il ne faut pas les y enlever. Elles sont de toute façon trop inaccessibles pour que Pierrot rĂ©ussir Ă  les cueillir
 Peut-ĂȘtre qu’avec un peu d’imagination, il pourrait crĂ©er lui-mĂȘme son Ă©toile ? Une Ă©toile rien qu’à lui qu’il arriverait forcĂ©ment Ă  attraper. J’aime bien mon idĂ©e ! Soleya Ă  cĂŽtĂ© de moi vient me conseiller de dessiner ce que je vois, et je repose sur elle mon regard pour lui faire un nouveau sourire. Elle n’est pas comme cet autre grand Serdaigle qui ne semblait pas aimer mes dessins
 Elle m’y encourage. Oh oui, je dessine toujours ce que je vois !» C’est vrai que pour l’instant, la page est vide, blanche. C’est qu’il faut parfois prendre le temps d’imaginer correctement. Mais parfois, notre rĂ©alitĂ© n’est pas la mĂȘme que celle des autres.» Car certains voient dans le ciel de simples nuages ou juste des trucs qui brillent tandis que moi j’y vois de multiples alors mon crayon, je dĂ©cide de lui montrer. Je commence par faire la lune, petit croissant fin qui brille dans le noir. Je veille Ă  ce qu’elle soit assez grande mais pas trop non plus, il faut qu’on voit autour. Et petit Ă  petit, les traits du Pierrot s’affichent, je n’ai pas besoin de regarder le ciel pour le dessiner. Une petite tĂȘte couverte d’un bonnet, une collerette avec des ombres prĂ©cises pour rendre l’image rĂ©aliste, un corps assez fin puisqu’il doit tenir sur la lune. Et dans une main, il tient sa canne, simple bĂąton blanc au bout du quel est tendu un fil dans le vide. Je m'applique, je prends le temps de bien faire les formes et d'appuyer les ombres pour qu'on ait l'impression qu'il soit rĂ©ellement prĂ©sent. Regarde» Je montre la page Ă  ma voisine en souriant timidement. Je veux lui montrer Pierrot, qu’elle le voit elle aussi. J’aimerais ajouter les Ă©toiles, mais pour ça il me faudrait beaucoup de temps car c’est une image imaginative dans un monde rĂ©el, les Ă©toiles ne doivent pas ĂȘtre n’importe oĂč, elles ne le peuvent pas, pas pour moi. Soleya McLaughlinSerdaigle DC Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [AbandonnĂ©]Soleya McLaughlin, le Sam 9 Mai - 1121 Le sourire qui se dessine sur les lĂšvres de la jeune femme est un mĂ©lange de reconnaissance, de remerciements et d’un sentiment de lĂ©gĂšretĂ© face Ă  la douceur dont faisait preuve la petite sorciĂšre. Il se dĂ©gageait quelque chose de positif, un dĂ©bordement d’étoiles invisibles symbolisant une candeur et un optimisme qui sonnait comme une douce mĂ©lodie Ă  mes oreilles. Elle Ă©tait de celles avec qui il Ă©tait bon de discuter. Peu importait l’ñge et la maison tant qu’il y avait la connexion et la fluiditĂ© de la conversation. Et tout pouvait dĂ©buter par des prĂ©noms complimentĂ©s, un intĂ©rĂȘt commun pour le croissant de lune. Ma bouche en dessinait un – croissant de lune. La nuit Ă©tait douce et je me hĂątais de voir la page blanche se noircir de tout ce qui se trouvait dans la tĂȘte de cette Demoiselle. Elle avait la rĂ©flexion d’une adulte et cela me fait sourire. L’imaginant plus vieille, dĂ©jĂ  une artiste accomplie. C’est lĂ  toute l’importance de l’art, que je dis en contemplant ce qu’elle me montrait, dĂ©couvrir la rĂ©alitĂ© des autres, se mettre Ă  leur place, c’est un bon moyen de les comprendre. Peut-ĂȘtre le ne peux m’empĂȘcher d’esquisser un sourire. En rĂ©alitĂ©, j’en ai presque les larmes qui me montent aux yeux. De toutes les personnes que j’avais rencontrĂ©es jusqu’à maintenant, elle Ă©tait la seule Ă  voir le monde avec autant de magie, Ă  en imaginer chacun de ses secrets, de ses faces cachĂ©es. Cela demandait une grande capacitĂ© de contemplation que, clairement, elle possĂ©dait en elle. C’était innĂ©. C’est magnifique, dans un souffle tandis que mon regard alterne entre le dessin et la lune. Il fallait sans doute encore le fignoler, ajouter les dĂ©tails qui pourraient Ă©chapper aux autres, m’échapper Ă  moi, mais qu’elle, elle avait sans doute dĂ©jĂ  vus, reconnus, observĂ©s. Elle pouvait pousser le vice un peu plus loin, qu’en Ă©tait-il du personnage italien s’il se trouvait dans un autre environnement que le sien ? Mes yeux se dĂ©tournent alors du dessin. Pierrot apparaĂźt sous plusieurs visages selon les personnes. Comment le vois-tu toi ? Pas physiquement, mais bien son symbole, ce qu’il signifiait pour elle, ce qu’il dĂ©gageait et pourquoi il semblait si important pour elle pour qu’elle en vienne Ă  le mettre en image sur une feuille blanche ? Tu t’es dĂ©jĂ  imaginĂ©e ce que cela donnerait au soleil ? Un simple questionnement. Quelle vision aurait-elle si tout cela se dĂ©roulait en plein jour ? Le soleil, le ciel bleu et une lune et des Ă©toiles qui se feraient timides, cachĂ©es. Elida CesteroSerdaigle Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [AbandonnĂ©]Elida Cestero, le Sam 9 Mai - 1903 Elle parle bien, la grande Serdaigles aux beaux prĂ©noms. Elle connaĂźt, elle comprend l’importance de l’Art. Je l’écoute en approuvant d’un hochement de tĂȘte. MĂȘme si c’est plus complexe que cela, parfois dessiner ne me suffit pas Ă  comprendre les autres. Peut-ĂȘtre que si les autres dessinaient, je pourrais comprendre ? En attendant, moi je dessine sans me cacher, je laisse voir Ă  ceux qui veulent. Au dĂ©but, je dessinais pour ma famille, pour leur parler sans utiliser de mots. Maintenant, je dessine tout le temps. Je trace sur le papier ma rĂ©alitĂ©, ma vision, ma comprĂ©hension. Sauf que ça ne plaĂźt pas Ă  tout le monde malheureusement, il y en a qui trouve ça idiot, bĂȘte, qui ne comprennent pas et qui se moquent car au final ils n’ont que ça Ă  faire, incapables de faire de mĂȘme ou du moins d’essayer. Mais ça m’est Ă©gal c’est ma maniĂšre Ă  moi de calmer un esprit trop plein et tant que j’aurais du papier et des crayons, je les utiliserais. Et il n’est pas prĂ©vu que je manque de matĂ©riel. Alors je suis d’accord avec Soleya, au final tout le monde se comprendrait si tout le monde s’exprimait de la mĂȘme la laisse observer le dessin, le petit Pierrot posĂ© sagement sur son croissant de Lune avec sa canne Ă  pĂȘche Ă  la main. Et moi, je l’observe elle. Le Soleil dans la Lune, la Lune dans le Soleil, les deux cĂŽtes Ă  cĂŽtes. Deux astres opposĂ©s qui reprĂ©sentent la nuit et le jour sont pourtant regroupĂ©s en une seule personne – impressionnant, Ă©tonnant, agrĂ©able. La jeune fille sourit, j’ai la sensation qu’elle est rĂ©ellement sincĂšre. Il n’y a pas de mensonges, elle ne se force pas. Tout n’est que vĂ©ritĂ© dans ce compliment tandis que son regard va et vient entre la Lune et la page. Peut-ĂȘtre arrive-t-elle ainsi Ă  voir mon ami lunaire pĂȘcheur d’étoiles ? Ça me ferait trĂšs plaisir, car elle a l’air capable de comprendre, en tout cas c’est l’impression que j’ai. Je crois aussi qu’elle connaĂźt Pierrot, sinon elle n’en parlerait pas. Un Pierrot aux multiples visages, un Pierrot aux diffĂ©rentes significations selon les gens, les humeurs, les moments. Comment est-ce que je le vois, moi ? C’est ce que la jeune fille me demande, curieuse apparemment. Comme un enfant qui joue, un rĂȘveur qui voudrait attraper les Ă©toiles. Il est patient, et surtout calme. C’est agrĂ©able » Il est comme moi, ce bonhomme lunaire tel que je le voit. Il pourrait presque ĂȘtre un ami si je savais ce que c’était. Et toi, tu le vois maintenant ? Tu le vois comment ? Ou tu l’imagines comment ?» Oui, mĂȘme s’il s’avĂšre invisible Ă  ses yeux elle a mon dessin et peut s’en servir pour comprendre le petit personnage. Je suis curieuse de connaĂźtre son esprit en ce nouvelle question se fait entendre, Soleya est du genre bavarde je crois. Ou alors curieuse, au choix. Peut-ĂȘtre les deux. Elle a de la chance, ce soir je veux bien, et puis ça m’intĂ©resse ce qu’elle me demande. Ai-je dĂ©jĂ  imaginĂ© ce que donnerait ce spectacle au Soleil ? Non. Je pourrais rĂ©pondre ça. Mais je peux aussi l’imaginer maintenant. CrĂ©er la scĂšne dans ma tĂȘte pour lui rĂ©pondre que non tout en le faisant en mĂȘme temps. Que donnerait ce ciel au Soleil ? Je ne me suis jamais demandĂ© ça. En tout cas, ça dĂ©pendrait de la date. Parfois, la Lune et le Soleil sont Ă  l’exact opposĂ© l’une de l’autre, la Terre entre elles. Parfois, elle se suivent. Parfois, on voit la Lune alors que le Soleil est encore lĂ . Je crois que le Pierrot n’aime pas le Soleil. Sinon, pourquoi vivrait-il sur la Lune ? En mĂȘme temps, c’est un peu chaud le Soleil. Mais Pierrot, c’est un bonhomme de la nuit je pense. Il est fait pour voir le noir et les Ă©toiles. Sauf que le jour, les Ă©toiles sont cachĂ©es par la lumiĂšre du jour, on ne les voit pas.» J’inspire un peu d’air, peu habituĂ©e Ă  autant parler, avant de remarquer Je ne sais pas comment c’est lĂ -haut. Ça doit ĂȘtre beau, non ? Voir le ciel d’ici n’est pas la mĂȘme chose qu’y ĂȘtre.» Et je tends la main, comme pour toucher le ciel. J’aimerais ĂȘtre une Ă©toile » La voix n’est plus qu’un murmure. Comment Pierrot voit-il le Soleil ? L’aime-t-il ou non ? C’est curieux. Intrigant. IntĂ©ressant. Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [AbandonnĂ©]Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

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l amitié c est pour moi un paysage