Ona découvert de l’endométriose seulement après ma 3ème FIV. L’intervention chirurgicale (laparoscopie) a été très douloureuse mais elle m’a permis d’avancer dans mon parcours. Mon constat après 7 FIV. J’ai réalisé que mes changements hormonaux agissaient directement sur mes comportements.louloutteCC Première fraise Messages 22 Enregistré le 08 sept. 2011, 0859 Contact Bonjour à toutes, je suis en recherche de témoignages. Je suis à ma 1ère FIV, et je viens d'avoir le transfert d'un blastocyste à J5. Comme beaucoup, je suis impatiente de savoir si çà va marcher je fais ma pds le 23 pour savoir si le beau apparaitra. Par contre, je voulais savoir si , pour celles qui ont eu un , quand avez-vous eu vos 1ers symptomes de grossesse?? Etait ce peu de temps après le transfert? Merci pour vos réponses. Kaydee31 Top fraise Messages 268 Enregistré le 29 nov. 2012, 0418 Localisation Laval Contact 14 janv. 2013, 1535 Salut Louloutte, J'ai fait ma 1ere FIV au mois d'août dernier et comme toi j'avais eu un transfert à J5. Mais pour être bien franche je n'ai pas eu de symptômes particuliers, sauf 5 jours environ avant la pds j'avais des tiraillements dans le bas ventre des 2 côtés et ça faisait mal surtout la nuit. Au final, j'ai eu mon beau !! Je pour toi et te souhaite un Karine Fiv 1 Img 15 nov. 2012 à 13 SA je t'aime Léa! Fiv 2 Olivier est né le 4 déc. 2013 Fiv 3 mars 2015, test positif le 5 avril 2015 louloutteCC Première fraise Messages 22 Enregistré le 08 sept. 2011, 0859 Contact 14 janv. 2013, 1539 Salut Kaydee, Cà fait du bien un message d'espoir. J'ai lu un peu partout qu'avec un blasto à J5, nous avons beaucoup plus de chance de grossesse. Du coup, j'espère énormément, peut être trop et j'ai peur de tomber de haut. Du coup, je viens à la pêche aux signes!!! Félicitations pour ton . Porte toi bien. Bises miracleamour 14 janv. 2013, 1552 félicitation louloutte pour ce premier transfert! C'est vrai qu'a J5,l'embryon est de meilleur qualité,c'est aussi vrai qu'on a un peu plus de chance que ca marche,mais ce n'est pas non plus enorme,si je te dis ca, c'est parce que j'ai derriere moi 4 fiv avec transfert de blasto,par 2 a chaque fois, et qu'aucun n'a tenu.... Le parcours fiv est difficile,je te conseille de ne pas trop t'emballer,c 'est tres dur, mais ca te sera salutaire si ca ne marche pas de suite... Ma premiere fiv, lorsque j'ai fais mon transfert,on m'a dit que les 2 embryons etaient top, que mon endometre etait parfait,etc...alors quand 11 jours apres le transfert, j'ai eu mes regles,mon monde c'est effondré,mon mari m'a eu dans ses bras pendant 30 minutes avant que mes larmes ne cessent de couler,en bref, je ne m'etais pas préparé a l'echec,et la 2 fiv a été dur a fixé! je te souhaite que ca marche de suite pour toi,bonne chance! louloutteCC Première fraise Messages 22 Enregistré le 08 sept. 2011, 0859 Contact 15 janv. 2013, 1853 Salut miracleamour, Et oui, j'ai déjà connu une grosse déception quand on a préparé ma 1ère ponction, et la veille, mon taux s'est écroulé alors le doc m'a dit "on arrête tout, çà ne donnera rien". je m'étais préparée psychologiqmt à la faire, alors là , j'ai fondu en larmes devant ma doc qui n'est pas un exemple de personne super chaleureuse!!^^. Rude Là , 1ère nuit après transfert, des douleurs atroces!!!!...heureusement le Spasfon m'a soulagée. En me levant ce matin, plus rien, mais toujours mon ventre gonflé depuis la ponction. Faut souffrir mais çà en vaut la peine. As tu déjà eu ce genre de douleurs??? Bises et merci de ton témoignage miracleamour 16 janv. 2013, 0917 oui, apres chaque transfert, dopuleurs au bas ventre,aux seins,a la tete,nausées,etc.. c'est a cause de la progesterone,tu as tous les symptomes de la femme enceinte,mais le verdict tombe a la fin! je croise les doigts pour toi, te souhaite bonne chance! Qui est en ligne Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur enregistré et 3 invités Lesdouleurs au niveau du bas du ventre sont assez habituelles après un transfert embryonnaire, elles peuvent être dues au traitement hormonal ou même à l’implantation. Quoi qu’il en soit, il est trop tôt pour tirer des conclusions, il faut attendre 15 jours après le transfert embryonnaire pour pouvoir réaliser un test de grossesse Mis à jour le 21/01/2022 à 00h00 Validation médicale 31 January 2018 Un retard de règles est généralement le premier signe de la grossesse, surtout lorsque la femme est bien réglée et en bonne santé. Néanmoins, d'autres causes peuvent expliquer un retard de règles. La grossesse La grossesse peut être la cause d'un retard de règles chez les femmes sexuellement actives. Un phénomène qui correspond à l'arrêt du cycle d'ovulation, et donc à l'arrêt des menstruations. Pour savoir si votre retard de règles est dû à une grossesse, faites un test de grossesse. Sachez aussi qu'après une grossesse les règles ne reviennent pas tout de suite. C'est ce qu'on appel le retour de couches. Il survient en moyenne 6 à 8 semaines après l’accouchement si vous n’allaitez pas. L'allaitement retardant l’apparition du retour de couches de quelques mois. Your browser cannot play this video. Suivez votre grossesse semaine après semaine Absence de règles et test de grossesse négatif Vous pouvez quand même être enceinte. Ce cas de figure est possible avec une grossesse trop récente pour que le test soit positif, en raison d'une ovulation tardive dans le cycle. Cette ovulation tardive peut être habituelle si vos cycles sont toujours longs, il ne s'agit donc pas à proprement parler d'un retard de règles ;inhabituelle si vos cycles sont habituellement de 28-30 jours. Il faut refaire un test de grossesse quelques jours plus tard. Un retard d'ovulation ? Il existe de nombreuses causes à un retard de règles en dehors d'une grossesse. Une cause fréquente est l'absence d'ovulation ou le retard d'ovulation. En pratique, attendez quelques jours et si l'aménorrhée persiste n'hésitez pas à consulter. En effet, il est probable que vos règles arriveront spontanément dans ce délai. Retard de règles après l'arrêt de la pilule Si ce retard de règles concerne le premier cycle après l'arrêt de votre pilule contraceptive et que le test de grossesse est négatif, c'est la fréquente aménorrhée post-pilule. Le processus d'ovulation ne se "remet pas en route" immédiatement après l'arrêt de la pilule et ce, d'autant plus que les cycles étaient déjà perturbés avant la prise de pilule. Après un accouchement et un allaitement prolongé Après l'accouchement, les règles pointent à nouveau le bout de leur nez au bout de 4 à 8 semaines, ou à la fin de l'allaitement. Cependant, un état de fatigue ou de dépression peut les retarder. Le stress peut retarder les règles Un important stress psychologique ou un choc émotionnel pourrait être la cause d'un retard de règles, voire d'un arrêt des menstruations. En effet, le stress peut interférer sur vos cycles menstruels et influencer celui de l'ovulation, retardant vos règles et les rendant irrégulières. Les troubles de l'alimentation Les déséquilibres ou troubles alimentaires peuvent également bousculer les cycles menstruel et entraîner un retard de règles. C'est parfois le cas lors d'une perte de poids importante liée à certaines pathologies comme la boulimie ou l'anorexie,d'un régime alimentaire déséquilibré ou carencé,d'une prise de poids importante ou en cas d'obésité. Retard de règles après un traitement par Clomid Deux hypothèses l'Inefficacité du Clomid ou une grossesse. La solution ? Attendre encore quelques jours, débuter une courbe de température, faire un test de grossesse et consulter si l'aménorrhée persiste. Et la ménopause ? Si vous approchez de la ménopause, sachez que les ovulations se font de plus en plus rares avec le temps. En effet, le stock de follicules ovariens diminuent au fil des années induisant parfois des règles irrégulières, avant leur arrêt complet. Un phénomène qui concerne les femmes à l'approche de la cinquantaine. Après des signes de grossesse, les règles sont arrivées avec une semaine de retard. Que s'est-il passé ? Ce peut être une dysovulation une production d'ovule de mauvaise qualité voire une anovulation complète. Cela peut conduire à des perturbations de l’ovulation et à des retards de fausse-couche très précoce mais la preuve ne peut en être faite que par un dosage sanguin montrant une ascension temporaire du taux d'HCG. Les règles sont survenues après 15 jours. Que s'est-il passé ? À voir aussi Si c'est inhabituel le plus probable est qu'il s'agit d'une anomalie temporaire de l'ovulation on parle de cycles "susceptibles" il existe des femmes dont les cycles disparaissent au moindre incident et qui présentent de temps en temps des aménorrhées passagères et spontanément réversibles, à l'occasion d'un simple choc affectif, voire d'un changement de vie transplantation, vacances. Si c'est habituel Cela ne nécessite d'exploration qu'en cas de désir de grossesse et d'absence de conception après 12 à 18 mois. Les causes sont nombreuses. NON aux régimes, OUI à WW ! Le plus simple est d'attendre le retour spontané des règles, leur retard prolongé n'ayant pas de conséquences dommageables ; A noter si pour différentes raisons traitement inducteur de l'ovulation à débuter, contraception à commencer, le retour rapide de règles est souhaité, un traitement hormonal peut être prescrit dont l'arrêt provoquera l'apparition d'un saignement dit de privation quelques jours plus tard. Lesrègles ou menstruations douloureuses ou difficiles sont appelées dysménorrhées. Elles peuvent être : primaires, c’est-à -dire qui apparaissent au début des règles, dès l’adolescence et sont en générale sans gravité. ou secondaire, c’est-à -dire, qui apparaissent plus tardivement, au bout de plusieurs cycles normaux.
nini6 Messages 1803 Enregistré le 11 juillet 2017 Mon centre de PMA 49- CHU d'Angers Titou2017 Messages 69 Enregistré le 22 mars 2017 Mon centre de PMA 75- Hôpital Bichat Paris 18 Re test + 7 jours après transfert Message non lu par Titou2017 » 10 sept. 2017 à 1001 nini6 a écrit ↑10 sept. 2017 à 0953 Bonjour Titou! Oui j'étais moi aussi très surprise! Au vu de mon taux 10 jours après transfert 224, j'estime mon taux à j+7 aux alentours de 70-75 donc normal que le test pipi réagissait. En ce qui concerne tes symptômes, ne desespere pas. Ce sont les mêmes que pour les règles donc rien n'est perdu. As-tu essayé de tester? On t'a transféré 1 ou 2 embryons? Merci ninie6, On m' a transféré 2 embryons, j'ai pas tester mais je te ments pas tu ma donner envie d'essayer Je vais réfléchir mais je pense que demain je vais essayer ...... c est 15 jrs d'attente paraissent tellement long ...... FIV 1 6 embryons Transfert lundi 04 septembre 2 embryon à J3 Prise de sang Pas de d'embryons conservè FIV 2 6 embryons 2 embryons transféré le 16 novembre à j2 Prise de sang le 28 novembre 3 embryons congelés. elli Messages 1238 Enregistré le 03 février 2017 Mon centre de PMA Gynécologue de ville Centre étranger Groupe médical IDK Re test + 7 jours après transfert Message non lu par elli » 10 sept. 2017 à 1359 nini6 a écrit ↑09 sept. 2017 à 1257 Taux aujourd'hui 454! Il y a moins de 48h entre les 2 prise de sang! Les saignements se sont calmés juste des traces quand je m'essuie et pas de douleurs... Ravie pour toi Une très belle journée "Once more into the fray. Into the last good fight I'll never know". En PMA 2014 4 Fivs , 3 Т, 1 FC FivDo Russie 26/04/18- 1T1j5 3 vitrif. Fc 2T 1j5neg 3T...11/02 2j5, prise de sang 24/02 1807 03/03 echo 2 poches 14/03 echo deux coeurs battent 01/04 echo tout va bien, 17/04 T1 deux vont bien, 17/05 16 SA 07/09 32 SA + 5j 1900 gr et 2100 gr 07/09 hospitalisation car le col s'est raccourci, bilan hépatique perturbé Mes bébès tant attendus sont nés à 35 SA . mamoune13 Messages 1000 Enregistré le 16 janvier 2017 Mon centre de PMA 69- Hôpital Femme Mère Enfant Bron Re test + 7 jours après transfert Message non lu par mamoune13 » 11 sept. 2017 à 1353 voilà je me lance, au vu des super sensations ressenti les jours suivant le transfere ,jai craqué ce matin a j5 post transfere , test urine de l aprem ayant pas fai pipi pendant des heure,et la une ligne pale!!!alors je me demande , si ovitrelle fait le samedi 2/09 ,y serait pour quelque chose 9 jours apres ,ou si mon j2 a 6 cellules transfere tot mercredi matin c est accroché? moi 40 RAS, mon homme 46 ans , teratospermie 2016 2/3 IAC echec 1 er RDV FIV 17/01/17 suivi echo a hopital de villefranche test fragmentation adn bis le 9/06 tjrs 30% = biopsie le jour J debut protocol synarel 29/07 FIV ICSI 1 ,10 OVOCYTES FECONDES MAIS 1 SEUL BRYBRY, 1J2 -reste 11 paillettes fiv icsi 2ponction 12/12,transfert 2j2 le 14/12 prise de sang le 27/12=32ui 29/1212ui/le 02/0130/41/76/125/164/191/210/238 le 19/01 perte de sang fausse couche?echo di pas geu ,doc dit grossesse non evolutive intra uterinea voir le taux du 21/01 Titou2017 Messages 69 Enregistré le 22 mars 2017 Mon centre de PMA 75- Hôpital Bichat Paris 18 Re test + 7 jours après transfert Message non lu par Titou2017 » 11 sept. 2017 à 1837 Je pense que sa doit être un vrai positif mamoune parce que moi je suis laissée tenter aujourd'hui a faire un test est négatif mon coeur est en miette ....jai eu mon transfére lundi dernier même pas une ligne parle rien du ts et j'ai pris un clearblue FIV 1 6 embryons Transfert lundi 04 septembre 2 embryon à J3 Prise de sang Pas de d'embryons conservè FIV 2 6 embryons 2 embryons transféré le 16 novembre à j2 Prise de sang le 28 novembre 3 embryons congelés. mamoune13 Messages 1000 Enregistré le 16 janvier 2017 Mon centre de PMA 69- Hôpital Femme Mère Enfant Bron Re test + 7 jours après transfert Message non lu par mamoune13 » 11 sept. 2017 à 1932 Titou2017 a écrit ↑11 sept. 2017 à 1837 Je pense que sa doit être un vrai positif mamoune parce que moi je suis laissée tenter aujourd'hui a faire un test est négatif mon coeur est en miette ....j'ai eu mon transfére lundi dernier même pas une ligne parle rien du ts et j'ai pris un clearblue titou ton test est un 25 ui ou 50 ui moi 25ui et tres tres pale limite invisible , je suis a j9 post ovitrelle alors je reste mefiante moi 40 RAS, mon homme 46 ans , teratospermie 2016 2/3 IAC echec 1 er RDV FIV 17/01/17 suivi echo a hopital de villefranche test fragmentation adn bis le 9/06 tjrs 30% = biopsie le jour J debut protocol synarel 29/07 FIV ICSI 1 ,10 OVOCYTES FECONDES MAIS 1 SEUL BRYBRY, 1J2 -reste 11 paillettes fiv icsi 2ponction 12/12,transfert 2j2 le 14/12 prise de sang le 27/12=32ui 29/1212ui/le 02/0130/41/76/125/164/191/210/238 le 19/01 perte de sang fausse couche?echo di pas geu ,doc dit grossesse non evolutive intra uterinea voir le taux du 21/01 Titou2017 Messages 69 Enregistré le 22 mars 2017 Mon centre de PMA 75- Hôpital Bichat Paris 18 Re test + 7 jours après transfert Message non lu par Titou2017 » 11 sept. 2017 à 1937 mamoune13 a écrit ↑11 sept. 2017 à 1932Titou2017 a écrit ↑11 sept. 2017 à 1837 Je pense que sa doit être un vrai positif mamoune parce que moi je suis laissée tenter aujourd'hui a faire un test est négatif mon coeur est en miette ....j'ai eu mon transfére lundi dernier même pas une ligne parle rien du ts et j'ai pris un clearblue titou ton test est un 25 ui ou 50 ui moi 25ui et très très pale limite invisible , je suis a j9 post ovitrelle alors je reste mefiante Comment fait on pour savoir si c'est un 25 ou 50 ? C'est un clear blue avec les barres FIV 1 6 embryons Transfert lundi 04 septembre 2 embryon à J3 Prise de sang Pas de d'embryons conservè FIV 2 6 embryons 2 embryons transféré le 16 novembre à j2 Prise de sang le 28 novembre 3 embryons congelés. mamoune13 Messages 1000 Enregistré le 16 janvier 2017 Mon centre de PMA 69- Hôpital Femme Mère Enfant Bron Re test + 7 jours après transfert Message non lu par mamoune13 » 11 sept. 2017 à 1946 Titou2017 a écrit ↑11 sept. 2017 à 1937mamoune13 a écrit ↑11 sept. 2017 à 1932Titou2017 a écrit ↑11 sept. 2017 à 1837 Je pense que sa doit être un vrai positif mamoune parce que moi je suis laissée tenter aujourd'hui a faire un test est négatif mon coeur est en miette ....j'ai eu mon transfére lundi dernier même pas une ligne parle rien du ts et j'ai pris un clearblue titou ton test est un 25 ui ou 50 ui moi 25ui et très très pale limite invisible , je suis a j9 post ovitrelle alors je reste mefiante Comment fait on pour savoir si c'est un 25 ou 50 ? C'est un clear blue avec les barres normalement c est ecri sur la boite, et tu la fai a quelleheure? moi 40 RAS, mon homme 46 ans , teratospermie 2016 2/3 IAC echec 1 er RDV FIV 17/01/17 suivi echo a hopital de villefranche test fragmentation adn bis le 9/06 tjrs 30% = biopsie le jour J debut protocol synarel 29/07 FIV ICSI 1 ,10 OVOCYTES FECONDES MAIS 1 SEUL BRYBRY, 1J2 -reste 11 paillettes fiv icsi 2ponction 12/12,transfert 2j2 le 14/12 prise de sang le 27/12=32ui 29/1212ui/le 02/0130/41/76/125/164/191/210/238 le 19/01 perte de sang fausse couche?echo di pas geu ,doc dit grossesse non evolutive intra uterinea voir le taux du 21/01 mamoune13 Messages 1000 Enregistré le 16 janvier 2017 Mon centre de PMA 69- Hôpital Femme Mère Enfant Bron Re test + 7 jours après transfert Message non lu par mamoune13 » 11 sept. 2017 à 1956 moi 40 RAS, mon homme 46 ans , teratospermie 2016 2/3 IAC echec 1 er RDV FIV 17/01/17 suivi echo a hopital de villefranche test fragmentation adn bis le 9/06 tjrs 30% = biopsie le jour J debut protocol synarel 29/07 FIV ICSI 1 ,10 OVOCYTES FECONDES MAIS 1 SEUL BRYBRY, 1J2 -reste 11 paillettes fiv icsi 2ponction 12/12,transfert 2j2 le 14/12 prise de sang le 27/12=32ui 29/1212ui/le 02/0130/41/76/125/164/191/210/238 le 19/01 perte de sang fausse couche?echo di pas geu ,doc dit grossesse non evolutive intra uterinea voir le taux du 21/01 nini6 Messages 1803 Enregistré le 11 juillet 2017 Mon centre de PMA 49- CHU d'Angers
Lamenstruation survient en cas d'Ă©chec du traitement au moins une semaine après le transfert de l'embryon et la quantitĂ© de saignement est plus importante. Les symptĂ´mes de la fĂ©condation et de la nidation sont-ils identiques ? Par Zaira Salvador (embryologiste).Mis Ă jour le 11/12/2015 Ă 11h56 Validation mĂ©dicale 11 December 2015 Les douleurs pelviennes sont frĂ©quentes chez la femme. Lorsqu'elles sont d'origine gynĂ©cologique, comme c'est souvent le cas, ces douleurs sont soit liĂ©es au cycle menstruel, soit chroniques. Your browser cannot play this video. Pour dĂ©terminer trouver la cause des douleurs pelviennes, un interrogatoire complet et un examen clinique et paraclinique minutieux sont indispensables. Les douleurs pelviennes chez la femme Comme toute douleur, la douleur pelvienne est un symptĂ´me purement subjectif dont l'intensitĂ© et le ressenti sont propres Ă chacune. On distingue deux grands types de douleurs pelviennes - les algies cycliques, se reproduisant et disparaissant Ă des moments prĂ©cis du cycle menstruel ; - les algies chroniques, d'Ă©volution capricieuse, plus ou moins permanentes, et, en tout cas, sans rapport net avec le dĂ©roulement du cycle. Douleurs pelviennes le syndrome intermenstruel Un syndrome douloureux, connaissant la mĂŞme Ă©volution spontanĂ©e et rĂ©pĂ©titive Ă chaque cycle, est facile Ă caractĂ©riser et Ă©voque d'emblĂ©e une perturbation mettant en jeu le dĂ©roulement du cycle menstruel. Des deux syndromes cycliques que l'on rencontre, le plus frĂ©quent et le plus douloureux est la dysmĂ©norrhĂ©e. Le syndrome intermenstruel est, lui, beaucoup plus rare, mais peut ĂŞtre rĂ©ellement douloureux. Ce phĂ©nomène est gĂ©nĂ©ralement contemporain de l' ovulation et on attribue ses manifestations Ă la rupture du follicule mĂ»r. Il associe, avec des intensitĂ©s très variables, deux symptĂ´mes une douleur pelvienne de survenue rapide, mĂ©diane plutĂ´t que latĂ©ralisĂ©e, d'une durĂ©e de quelques heures, et d'intensitĂ© variable sa survenue au milieu du cycle pour un cycle de 28 jours est un Ă©lĂ©ment de diagnostic diffĂ©rentiel capital ;une hĂ©morragie gĂ©nitale, en gĂ©nĂ©ral peu importante glaire sanglante, spotting, correspondant plus rarement Ă des "règles de quinzaine". Lorsqu'elles sont fonctionnelles, ces manifestations ne nĂ©cessitent aucun traitement. Mais avant de parvenir Ă cette conclusion, il ne faut Ă©carter aucune cause, surtout lorsque le syndrome est rĂ©cent. Toute la pathologie gynĂ©cologique organique peut entraĂ®ner un syndrome intermenstruel, qui peut aussi ĂŞtre simplement liĂ© Ă la prĂ©sence d'un stĂ©rilet. Après un examen clinique, une Ă©chographie, une hystĂ©rographie, voire une coelioscopie sont rĂ©alisĂ©es. Le traitement est alors celui des lĂ©sions en cause. Douleurs pelviennes la dysmĂ©norrhĂ©e règles douloureuses La dysmĂ©norrhĂ©e est un symptĂ´me dont la frĂ©quence est très diversement apprĂ©ciĂ©e de 5 Ă 90 % selon les Ă©tudes. Certains ne parlent de dysmĂ©norrhĂ©e que lorsque le syndrome douloureux est suffisamment important pour entraĂ®ner un absentĂ©isme scolaire ou professionnel ; selon ces critères, la dysmĂ©norrhĂ©e atteindrait 15 % des jeunes filles, 10 % des jeunes femmes, et 5 % des jeunes mères. En fait, loin de ces donnĂ©es thĂ©oriques, le praticien considère dans la pratique qu'il y a dysmĂ©norrhĂ©e Ă partir du moment oĂą la gĂŞne est suffisamment importante pour pousser la patiente Ă le consulter. Le problème des règles douloureuses se prĂ©sente assez diffĂ©remment selon que la dysmĂ©norrhĂ©e se manifeste dès les premières règles dysmĂ©norrhĂ©e primaire ou Ă un certain moment de la vie gĂ©nitale dysmĂ©norrhĂ©e secondaire. - la dysmĂ©norrhĂ©e primaire de l'adolescente La douleur menstruelle apparaĂ®t en fait moins souvent dès les premières règles qu'après quelques mois ou annĂ©es de cycles plus ou moins rĂ©guliers. L'interrogatoire permet de caractĂ©riser très prĂ©cisĂ©ment des types variĂ©s de dysmĂ©norrhĂ©e en fonction de leur intensitĂ©, leur siège, leurs irradiations, du moment de leur survenue par rapport Ă l'installation du flux menstruel dysmĂ©norrhĂ©e prĂ©menstruelle -avant l'Ă©coulement-, protomĂ©niale au dĂ©but de l'Ă©coulement- ou tĂ©lĂ©mĂ©niale -en cours ou en fin de menstruation, du caractère de la douleur... L'interrogatoire permet aussi d'apprĂ©cier les caractères de l'Ă©coulement menstruel, la rĂ©gularitĂ© des cycles et le retentissement du syndrome douloureux ; c'est ainsi que seront caractĂ©risĂ©s les deux types de dysmĂ©norrhĂ©e le plus frĂ©quemment rencontrĂ©s - la dysmĂ©norrhĂ©e dite spasmodique, Ă type de coliques utĂ©rines d'installation protomĂ©niale, cĂ©dant au bout de quelques heures alors que le flux menstruel devient plus franc ; - la dysmĂ©norrhĂ©e dite causalgique, sourde, profonde et permanente, d'installation surtout prĂ©menstruelle, et qui se prolonge pendant la majeure partie de la menstruation. Ă€ voir aussi C'est aux simples antalgiques qu'il faut d'abord faire appel depuis l'acide acĂ©tylÂsalicylique aspirine jusqu'aux composĂ©s plus complexes. De très nombreux cas de dysmĂ©norrhĂ©e y sont sensibles, et chaque patiente a souvent sa prĂ©fĂ©rence pour tel ou tel composĂ©. Si ces traitements s'avèrent insuffisants, le mĂ©decin peut recourir Ă des mĂ©dications plus spĂ©cifiquement dirigĂ©es contre la douleur menstruelle comme les vasodilatateurs artĂ©riolaires, les veinotropes, les antiÂprostaglandines ou encore l'hormonothĂ©rapie. ÂEn cas d'Ă©chec, il peut envisager le blocage ovulatoire par les oestroÂprogestatifs, mais on n'y a recours qu'en dernier ressort. L'Ă©volution de la dysmĂ©norrhĂ©e fonctionnelle de la jeune fille est pratiquement impossible Ă prĂ©voir, l'intensitĂ© du syndrome douloureux pouvant subir des fluctuations au fil des cycles et selon les Ă©vĂ©nements de l'existence. Mais la dysmĂ©norrhĂ©e peut disparaĂ®tre spontanĂ©ment ou après le dĂ©but des rapports sexuels, ou encore après un premier accouchement. - la dysmĂ©norrhĂ©e secondaire de la jeune femme Dans ce cas, les règles sont devenues douloureuses Ă un moment quelconque de la vie gĂ©nitale ; c'est pourquoi ce symptĂ´me est alors beaucoup plus volontiers l'expression d'une pathologie locale Ă dĂ©couvrir et Ă traiter, d'autant que pratiquement toute la pathologie gynĂ©cologique peut s'accompagner de dysmĂ©norrhĂ©e. L'examen clinique repose sur - la mise en place d'un spĂ©culum, qui peut dĂ©couvrir, en dehors d'un stĂ©rilet engagĂ© dans le col, deux types de lĂ©sion un polype ou une inflammation du col cervicite infectĂ©e, en gĂ©nĂ©ral accompagnĂ©e de pertes blanches ; - un toucher vaginal qui peut objectiver un fibrome utĂ©rin ou une rĂ©troversion fixĂ©e. Des examens paracliniques peuvent ĂŞtre effectuĂ©s, notamment pour pousser les investigations lorsque la clinique reste muette devant un syndrome douloureux invalidant. - l'Ă©chographie, notamment, permet de prĂ©ciser les caractères d'une masse dĂ©couverte Ă l'examen clinique ; elle peut aussi mettre en Ă©vidence le dĂ©placement d'un stĂ©rilet. Il n'est pas rare enfin qu'elle dĂ©couvre une anomalie cliniquement indĂ©celable chez des patientes obèses ou difficiles Ă examiner ; Â- l'hystĂ©rographie peut aider Ă dĂ©couvrir des synĂ©chies ou un polype intracavitaire ; elle peut Ă©galement objectiver les images "en boule de gui" de l'adĂ©nomyose forme d'endomĂ©triose. Â- la coelioscopie, enfin, permet de dĂ©couvrir des lĂ©sions infectieuses anciennes ou en Ă©volution, et permet, Ă©ventuellement, d'effectuer des prĂ©lèvements pour prĂ©ciser le germe en cause ; elle peut aussi objectiver une endomĂ©triose, que la clinique avait parfois dĂ©jĂ Ă©voquĂ©e. Consulter en ligne un gĂ©nĂ©raliste La douleur pelvienne chronique La douleur pelvienne chronique peut ĂŞtre d'origine gĂ©nitale ou provenir d'organes intrapelviens l'intestin terminal, les voies urinaires basses ou des constituants ostĂ©o-musculaires de la paroi pelvienne. Dans le second cas, il faut le plus rapidement possible entreprendre les explorations nĂ©cessaires, dont l'importance est fonction de chaque cas anciennetĂ© et intensitĂ© du syndrome, terrain, dĂ©couvertes Ă©ventuelles, pour permettre de voir s'il y a une lĂ©sion organique ou aucune anomalie. L'interrogatoire est un temps capital du diagnostic. Il prĂ©cise les caractères du syndrome douloureux, son Ă©volutivitĂ©, les antĂ©cĂ©dents et l'existence de signes associĂ©s dyspareunie en particulier. On pensera Ă l'appareil urinaire lorsqu'on retrouve des signes, mĂŞme frustes, de cystites. On pensera plutĂ´t Ă l'appareil digestif terminal lorsque le syndrome douloureux est associĂ© Ă des troubles du transit tout particulièrement Ă une constipation ancienne et rebelle, Ă des difficultĂ©s digestives ballonnement, gargouillements et qu'il est latĂ©ralisĂ© caecum Ă droite, sigmoĂŻde Ă gauche. Enfin, l'association de l'algie pelvienne Ă des mouvements douloureux, son exacerbation Ă la toux, doivent faire Ă©voquer une origine ostĂ©oÂmusculaire. En dehors de ces cas, la douleur est prĂ©sumĂ©e gĂ©nitale mĂ©diane ou latĂ©rale basse, le plus souvent sourde, exacerbĂ©e par les secousses, la station debout, la fatigue, et soulagĂ©e, au contraire, par la position allongĂ©e. L'examen clinique simple peut permettre de dĂ©couvrir une anomalie Âun prolapsus, Âun syndrome douloureux ostĂ©oÂmusculaire, Âune infection cervicoÂvaginale ou Âune rĂ©troversion utĂ©rine. Il faut savoir que l'examen clinique est frĂ©quemment nĂ©gatif. Une endoscopie pourra ĂŞtre proposĂ©e ou, en cas de douleur ancienne, une coelioscopie. Cet examen permet de dĂ©couvrir une endomĂ©triose, une salpingite, une dĂ©chirure du ligament large, etc. En conclusion, retenez que quelle que soit le type de la douleur gĂ©nitale, l'Ă©tape capitale se situe Ă la fin du bilan clinique et paraclinique. Ce bilan permet de rĂ©gler toutes les situations simples, mais surtout, grâce aux connaissances sur vous accumulĂ©es tout au long de la dĂ©marche diagnostique, il permet Ă votre mĂ©decin d'aborder avec le maximum d'Ă©lĂ©ments les problèmes les plus difficiles.Douleurs3 jours après transfert d'embryon. Coucou Ă toutes ! Alors voilĂ lundi matin a eu lieu notre tec, avec 3 embryons. Hier j'ai eu des tiraillements au niveau des ovaires, mais plus inquiĂ©tant, cette nuit j'ai eu des douleurs assez importantes au niveau de l'utĂ©rus je crois, un peu comme des spasmes. Et aujourd'hui ça me fait comme Un retard de règles qui se prolonge au-delĂ de quatre mois consĂ©cutifs ? Vous avez 45 ans environ ? C’est peut-ĂŞtre tout simplement les premiers signes de la mĂ©nopause dont le processus finira par entraĂ®ner l’arrĂŞt dĂ©finitif des règles. Si la mĂ©nopause ne concerne que très rarement les femmes de moins de 45 ans en moyenne, elle se manifeste par diffĂ©rents les signes de la mĂ©nopauseLa mĂ©nopause est prĂ©cĂ©dĂ©e de symptĂ´mes caractĂ©ristiques, notamment des troubles de règles règles plus douloureuses qu’avant, plus ou moins abondantes qu’avant, raccourcissement ou rallongement des cycles, mĂ©trorragies pertes de sang hors des règles… Ces symptĂ´mes peuvent ainsi signaler une prĂ©mĂ©nopause, qui doit ĂŞtre confirmĂ©e par un mĂ©decin après une sĂ©rie d’ ovarienne prĂ©coceAu-delĂ de quatre mois consĂ©cutifs d’absence de règles, on peut suspecter une insuffisance ovarienne prĂ©coce IOP, qui peut survenir avant l’âge de 40 ans. L’insuffisance ovarienne prĂ©coce entraĂ®ne des perturbations dans le fonctionnement normal des ovaires, et avec elles, des retards de règles. Mais elle est Ă©galement marquĂ©e par l’apparition d’autres symptĂ´mes, tels que les bouffĂ©es de chaleur ou les troubles de l’humeur par exemple, habituels lors de la un mĂ©decin, sur la base d’analyses sanguines dosages hormonaux ou d’une Ă©chographie ovarienne pourra Ă©tablir un diagnostic d’insuffisance ovarienne prĂ©coce. xG0xb. 415 412 448 474 96 229 147 159 306