En bref L'exposition Les conscrits de Fraize » est prolongée à la demande de MMe le Maire jusqu'au dimanche 21 août. Du 30 juillet au 15 août, l'exposition Les conscrits de Fraize » se tient à la salle des fêtes de la mairie tous les après-midi de 14 à 18 h et aussi le vendredi matin marché de 9 à 12 h. Durant les douze derniers mois, ce site a reçu 15000 visites ! Elles concernent principalement les pages des conscrits et des écoles à raison d'un peu plus de 1000 par mois. La saison de pressage de pommes s'annonce bonne. En consultant la circulaire saison 2022 vous y trouverez toutes les informations utiles dates, horaires, inscriptions.... Qui connaît Marie Petitdidier ? Consultez la nouvelle page qui lui est consacrée et lisez Je me souviens, son journal de la Grande Guerre, un trésor. Commentez sur Livre d'Or. Proverbe du jour On fait mal une chose quand on la fait à bâtons rompus. Dicton du jour Après Saint-Roch, aiguise ton soc. Saviez-vous que cette maison, dans la vignette en haut à gauche, est la fameuse maison Masson-Wald, rue de l'Église, dont la donation à la commune en 1993 fut à l'origine de notre association ? Les trésors de La Costelle ! Connaissez-vous ces dizaines de documents 160 actuellement que La Costelle met à votre disposition ? Ils sont tous accessibles et téléchargeables sur la page Documents & Archives/Bibliothèque, documents et écrits d'intérêt local et se répartissent dans les catégories suivantes À propos de la vallée de la Haute Meurthe et de Fraize Autour de la guerre de 1914-18 Autour de la guerre de 1939-45 Écrit de Jean Hartemann Écrits de Eugène Mathis Écrits de Jean-Baptiste Haxaire Écrits de Joseph Haxaire Écrits de Marcel André Boschi Écrits de Yves Bruant Écrits et articles de François Maubré Écrits et articles de Henri Lalevée Écrits et articles de Joseph Valentin Écrits et articles de Victor Lalevée Écrits et articles divers Écrits par La Costelle collectifs Notes du curé Nicolas Vichard Pourquoi ne pas prendre connaissance cette fois de Joseph Valentin Nom de lieu. Les Essarts © La Costelle. Dernière mise à jour le 16/08/2022 à 0844
Leimage satellite permet de voir à quoi ressemble le bâtiment et la région environnante. Une photo 3D de Avenue Jean Moulin à partir de l'altitude du vol d'un oiseau aidera à mettre une image plus précise dans la tête. Ici vous pouvez voir toutes les rues voisines, les routes et les sites. Retour à la sélection des rues.
Source Gallica, Bulletin de la Commission historique du département du Nord - 1866, et annuaire statistique du département du Nord - 1837 textes numérisés Maroilles, noms anciens Maricoloe, 667, Miroeus I, 9. - Marigilum, 750, diplôme de Pepin. - Marilioe, 870, Miroeus I, 31. - Marellias, id. IV, 175. - Mariculas, 921, id. 36. - Mariclas, 1131, charte de l'évêque de Cambrai, Liétard. - Maricolis, 1237, Bulle du pape Grégoire IX. - Maroiles, 1240, Lettre d'Arnulphe, abbé de Maroilles. - Marolles, 1273, pierre tombale du cloître de l'abbaye. - Maroilles, 1296, sentence arbitrale du comte de Hainaut. - Maroles, 1349, Pouillé de Cambrai. - Maroiles, 1495, 4me cart. du Hainaut. - Mareolioe. - Mariliacum. - Maureclias. - Mareclioe. - Marelloe, dans les chartes latines. Monuments Traces de deux forts qui défendaient la commune de Maroilles au moyen-âge; l'un au-dessus, l'autre au-dessous du village. Tous deux ont été démolis dans le XVIIe siècle. Certaines portions conservées de l'abbaye de Maroilles sont aujourd'hui transformées en habitations particulières. L'église de Maroilles a été reconstruite, partie en 1729 et partie en 1768. Elle renferme les orgues de l'abbaye. La cloche date de 1740. Maison commune bâtie en 1804. Le portail de l'église de l'abbaye de Maroilles a été replacé, en 1812, sur la place publique, où il forme un arc de triomphe. Faits historiques Maroilles doit son origine à l'abbaye de bénédictins fondée en cet endroit par Chombert, comte de Famars, qui la construisit en 652. Saint Humbert l'agrandit considérablement, la dota de tous ses biens en 667 et défricha le terrain, de sorte qu'il en est regardé comme fondateur et premier abbé. Compris dans le lot de Charles-le-Chauve, lors du partage du royaume de Lothaire, en 870. Le village de Maroilles fut érigé en commune dans le XIIe ou dans le XIIIe siècle. L'époque de cette institution n'est pas connue d'une manière précise, mais il est constant que les privilèges concédés à ce sujet aux habitans existaient dès avant 1245, puisqu'ils se trouvent rappelés et confirmés dans une loi de police consentie en décembre de cette année devant Guy, évêque de Cambrai, entre les abbés et religieux du village et les hommes des quatre villes de Maroilles, Noyelles, Taisnières et Marbaix. Cette loi de police ou concordat avait principalement pour objet de régler l'exercice de la justice dans les terres dépendant de l'abbaye de Maroilles, ainsi que les compositions pécuniaires et autres auxquelles étaient assujettis les coupables, et de déterminer le nombre et le mode d'élection des échevins et jurés de chacune des quatre communes de la circonscription. Les bâtimens du monastère de Maroilles, qui avaient été construits sur la rive gauche de la Petite-Helpe, furent entièrement ruinés et détruits en 1521, lorsque le duc de Vendôme s'empara de Landrecies, qu'il fit raser, ainsi que Maroilles et plusieurs autres places ouvertes du voisinage. Les moines prirent alors des mesures pour le reconstruire et recoururent en cette circonstance à la charité des fidèles. Ils n'en obtinrent que de faibles sommes; néanmoins, la réédification eut lieu en 1523, mais elle obligea le couvent à contracter des emprunts qu'il ne put rembourser que longtemps après. Le nouveau monastère fut bâti dans de grandes proportions, à proximité de l'ancien, mais sur la rive opposée de a rivière, où la situation était beaucoup plus agréable et où cependant il n'existait encore aucune habitation, ce côté n'étant alors couvert que de terrains boisés et de prairies fangeuses qui ont fait place avec le temps au beau village de Maroilles. François 1er, ayant renouvelé la guerre avec Charles V, en 1543, vint établir ses troupes devant Landrecies et se logea, lui même, à l'abbaye de Maroilles. L'archiduc Léopold, gouverneur des Pays-Bas, établit son quartier général dans ce village, lors du siège qu'il fit, en 1647, de la place de Landrecies. Pendant les guerres de la Fronde, en 1651, Maroilles fut pillé par le général Rose, commandant des troupes allemandes au service de France. Le 22 octobre 1655, l'armée française, commandée par Turenne, passa à Maroilles après le rétablissement des fortifications de Condé, et se dirigea ensuite sur Saint-Quentin. Pendant les campagnes suivantes de Louis XIV dans le Hainaut jusqu'à la paix des Pyrénées, la contrée, alternativement livrée à la merci des puissances belligérantes, fut accablée d'impôts, de réquisitions et de logemens militaires, à tel point qu'une grande partie des habitans émigra, abandonnant le pays où l'on ne trouvait plus ni repos ni sécurité. En effet, pour ne citer que quelques faits isolés, il suffira de dire qu'en 1665, il arriva en masse à l'abbaye de Maroilles, pour y loger et séjourner, vingt-trois régimens complets de Lorrains, commandés par le duc François, nouvellement attaché au service de France ; et qu'en 1657, l'armée de don Juan d'Autriche, s'étant arrêtée, du 8 au 16 août, dans le village de Maroilles, causa des torts incalculables aux malheureux cultivateurs de cette localité et des villages voisins, qui n'obtenaient quelque repos qu'au moyen de sauves-gardes chèrement payées. Les guerres de 1706 à 1713, terminées par la paix d'Utrecht, désolèrent encore cette contrée. Les Hollandais, sous les ordres du prince Eugène de Savoie, la ravagèrent en 1712. Le village de Maroilles fournit seul durant cette période désastreuse, plus de 100 000 livres de France, somme énorme pour ce temps-là. Pendant la campagne de 1730, 10000 hommes cantonnèrent dans le village de Maroilles et ses environs, du 1er au 4 juillet, avant de se rendre à Aymeries, où ils campèrent. L'abbaye fut alors occupée par l'état-major de cette troupe. Un autre fléau, la peste, ravagea, en 1718, Maroilles et les villages environnans. Le 28 juillet 1789, l'abbaye est dévastée, pillée et saccagée par les populations des villages voisins comme tous les autres établissemens religieux. Elle fut vendue en 1791 et ses batimens démolis en 1794. Quelques locaux seulement ont échappé au marteau des acquéreurs; ce sont la blanchisserie, la menuiserie, une portion du quartier des étrangers, le comptoir, la laiterie et l'habitation du portier. Les batimens qui ont servi, en 1815, au casernement des troupes russes sont maintenant occupés par différens particuliers. Lors du siège de la place de Landrecies, qui, en 1794, fut prise et reprise successivement, Maroilles fut saccagé et eut une partie de ses habitations incendiée, principalement dans la rue Basse. Avant la révolution, ce village faisait partie de la prévôté du Quesnoy. En 1790, il fut chef-lieu de canton, et en l'an X compris dans celui de Landrecies. Personnages remarquables Le monastère de Maroilles a produit quelques savans l'abbé don Simon Bosquier, qui a donné en vers latins la vie de saint Humbert; un religieux anonyme, qui a aussi composé en latin la vie de ce saint; don François Blanquart, qui a traduit ce dernier ouvrage en français; l'abbé Fred d'Yves, qui a recueilli des mémoires pour servir à l'histoire de son temps; don Humbert de Briastre, auteur de divers écrits , etc. D'après le dictionnaire historique, critique et bibliographique, publié en 1823, chez Ménard et Désenne, le P. Wastelain, jésuite , auteur de la description de la Gaule-Belgique, serait né à Maroilles, en 1694. Son acte de naissance n'a cependant pas été trouvé dans les registres de baptêmes de la commune, compulsés avec soin, de 1692 à 1696. Il y a erreur, au moins, dans la date indiquée par ce dictionnaire. La population de Maroilles était, en 1800, de 2170 âmes. Ce nombre d'habitans n'a guère augmenté depuis lors, le dernier recensement opéré en 1836 ne portant que 2183 individus. Maroilles a une superficie de 2193 hectares, dont 1856 en prés, 209 en terres à labour, 15 en jardins, 2 en oseraies, 4 en digues, 14 en propriétés bâties, 72 en routes et chemins, et 21 en rivières. On y cultive le blé, l'avoine, l'escourgeon, l'épeautre et les pommes de terre. Le sol de cette localité est peu favorable à la production des céréales; aussi les neuf-dixièmes du territoire sont-ils en nature d'herbage, comme l'annonce le détail qui précède. Maroilles a obtenu par un décret du 21 septembre 1812, l'autorisation d'établir une foire le premier lundi de chaque mois. Cette foire est assez fréquentée et l'on y vend principalement des bestiaux, ainsi que beaucoup de menus objets de mercerie, quincaillerie, boissellerie, etc. Maroilles est une commune parmi les plus prospères de l'arrondissement d'Avesnes; elle est le centre de l'immense fabrication de ces excellens fromages qui se consomment dans une grande partie de la France. Il existe dans ce village 3 brasseries et 2 moulins à farine mus par l'eau. Hameaux et lieux dits La Basse-Maroilles. L'abbaye. La rue des Juifs. Le Calvaire. des Haies. La Prairie. Le petit Marais. La Prée Berteau. Tableau de St Humbert du Hamel et châsse contenant ses reliques. Le grand orgue de l'église de Maroilles. Un des angelots du grand orgue. La mairie de Maroilles. La maison commune de Maroilles est installée en 1791 dans l'ancien "greffe d'auditoire de la défunte juridiction seigneuriale" qui date du 17e siècle . Au 19e siècle, la mairie accueille de nombreuses fonctions à la suite de la Révolution, elle abrite le presbytère jusqu'en 1837, l'école de garçons transférée en 1872 derrière l'église et la salle de musique. En 1875, l'architecte Gustave Meurant et l'entrepreneur Alphonse Tessier rajoutent une aile perpendiculaire à la mairie destinée à accueillir l'école de filles. Celle-ci est agrandie dès 1882 l'aile de 1875 est prolongée et un retour est construit jusqu'à la rue du Lieutenant. Le kiosque place Verte. Autre vue en grand formatLa construction d’un kiosque à musique est envisagée en 1909, commandé aux établissements Clovis Cassoret et Frères à Saint-Sauveur Arras, sur le même modèle que ceux de Reims et Cousolre. Finalement, le kiosque actuel, sur un modèle octogonal, n’est construit qu’en 1932. Pigeonnier de la Colombière du 18e siècle. Place en grand format La pompe, place de l'église. Armoiries sur le pignon de la mairie. 1702 Notre Dame des Affligés - 1740. Chemin de Cerfmont. La chapelle des prés, rue des près le linteau on peut lire "NOTRE DAME DE GRACE PRIEZ POUR NOUS MONSEIGNEUR DE CAMBRAI ACCORDE 40 JOURS DINDULGENCE A TOUS CEUX ET CELLES QUI DUEMENT DISPOSEZ RECITERONT DEVOTEMENT ET A GENOUX DEVANT CETTE CHAPELLE ERIGEE EN L'HONNEUR DE LA SAINTE VIERGE CINQ PATER ET CINQ AVE MARIA 1760". Chapelle XIXème siècle. Chemin de la petite Marlière Chapelle Henriet, chemin des Fayts. Niche située Voie Communale Aie de la ville Oratoire dédié à St Antoine et St Georges. Chemin de Le Favril / Rue de La Basse / Rue La Haut Niche dédiée à la Vierge. 46 Grand rue. Niche dédiée à la Vierge. Rue du Faux. Calvaire au cimetière. La Grange Dîmière cour de l' ancienne abbaye de Maroilles est aujourd'hui composée de la grange dîmière, du logis des hôtes, du moulin, des vestiges de la porterie et des comptoirs, ainsi que d'éléments de portique remployés dans un arc de triomphe. La grange dîmière est un vaste volume en rez-de-chaussée agrémenté de fenêtres à arc de couvrement chantourné et de chambranles à bossage en pierre bleue. Elle est couverte d' un toit à deux pans et d' une demi-croupe caractéristique de l' architecture rurale de l' Avesnois. Le moulin des Près sur l'Helpe Mineure, rue du Lieutenant. Ancienne brasserie - 1760 - 1 Grand'rue Monument aux Morts de Maroilles, réalisé par la Sté Gaudier-Rembaux d'Aulnoye Blason venant de l'Abbaye de Maroilles. La fontaine st Humbert. Rue des juifs. " Notre Dame de Bon Rencontre priez pour nous 171? " Route de Landrecies. Chapelle Notre Dame des Haies - 1881. chemin de Maubeuge dévotion ancienne à N-D des Haies est attestée, mais l'actuelle chapelle ne date que de 1881. Cette date est portée sous le porche. Un blason provenant de l'abbaye de Maroilles a été remployé sur le chevet. L'entrée de la chapelle a été rénovée récemment. La dévotion à Notre-Dame-des-Haies est toujours vive. Chapelle des Grâces, St Druon, St Donat datée 1814 dite chapelle Frémy Rue des Juifs. porte une inscription et une date gravées en façade "CETTE CHAPELLE FUT ERIGEE A L'HONNEUR DE NOTRE-DAME DES GRACES, SAINT DRUON ET SAINT DONAT PAR NICOLAS JHANNE QUART MARIE DESIREE HONORE SON EPOUSE 1814". Oratoire dédié à St Humbert - 1952. Rue des Juifs. L'oratoire Saint Roch, face au moulin. Oratoire dédié à la Vierge, chemin de Maubeuge Niche St Hubert Rue La Haut. Oratoire dédié à Ste Thérèse de l'Enfant Jésus, début des années 60. Chemin Dame Marguerite. Calvaire et sépulture de la famille Lefranc - Evrard.DécouvrezLeizer Elisabeth (25 r Moulin de la Vierge, 75014 Paris) avec toutes les photos du quartier, le plan d'accès, les avis et les infos pratiques : horaires, Itinéraires. Leizer Elisabeth Conseil en organisation et gestion. 25 r Moulin de la Vierge, 75014 Paris. Itinéraires. Téléphone. Enregistrer. Position sur la carte, horaires, adresse, téléphone Modifier les infos sur
LE MOULIN DE LA VIERGE EXCELSIOR - 64 Rue Saint-Dominique, 75007 Paris, France LE MOULIN DE LA VIERGE EXCELSIOR 64 Rue Saint-Dominique, 75007 Paris, France Voir sur la carte Description Boulangerie LE MOULIN DE LA VIERGE EXCELSIOR Ouvert Actuellement ! la Boulangerie LE MOULIN DE LA VIERGE EXCELSIOR vous accueille au 64 Rue Saint-Dominique, 75007 Paris, France. Toute l'équipe de LE MOULIN DE LA VIERGE EXCELSIOR sera ravie de vous accueillir et vous faire profiter de son expertise. Ouvert le Dimanche ! Les horaires d'ouvertures sont Lundi 07h00 20h00 Mardi 07h00 20h00 Mercredi Fermé Jeudi 07h00 20h00 Vendredi 07h00 20h00 Samedi 07h00 20h00 Dimanche 07h00 20h00 Boulangeries à paris A découvrir Boulangerie Julien Boulangerie Huré MyuMyu Boulangerie Brun Market Paris Vouillé Les Enfants Gatés BO&MIE - Turbigo Boulangerie Saint Fargeau Boulangerie Au 140 par Frédéric Comyn Reviews Christelle D. le pain est vieux de 3 jours !! alors ...je laisse l'étoile car je n'ai pas le choix ....mais la c'est le pompon !!! Le personnel est désagréable...il n'a jamais de monnaie...Le dimanche c'est la seule boulangerie d'ouverte...Le patron de cette taule devrait embaucher !! l'attente est insupportable car en plus elles ne sont pas efficaces....ni polie....bref !!! un changement est nécessaire Julien les patisseries sont exceptionnelles, notamment la tarte au citron et gros macarron aux framboises le meilleur que j'ai mangé de ma vie Alexandra B. Je déconseille vivement cette boulangerie mercredi 16 mars j ai acheté une tartelette aux pommes et déjà elle n était pas fraîche mais l horreur il y avait un cheveux long et blond dedans...et je n'ai pour habitude de critiquer mais là c est inadmissible ! Plus jamais Gauthier L. T. Au top pour un déjeuner rapide 👌 un peu bondé venez avant midi pour être sûr d'avoir votre repas Bernard L. Super boulangerie, pâtisserie ! Adresse incontournable rue Saint Dominique. Dommage que le pain n'est pas fait sur place !
Numérode téléphone et adresse complète de Boucher Aline à Paris. Allin Jacqueline - 18 Rue du Moulin de la Vierge (0 kilomètre) ; Alexandre Christine - 18 Rue du Moulin de la Vierge (0 kilomètre) ; Bruneau Philippe - 18 Rue du Moulin de la Vierge (0 kilomètre) ; Bruneau Francine - 18 Rue du Moulin de la Vierge (0 kilomètre) ; Bouhier Laurent - 18 Rue du Moulin de la Vierge (0 Fidèle aux évangiles et à son projet résolument catholique, notre désir est de construire avec tous les partenaires élèves, parents, professeurs, éducateurs et membres du personnel une communauté vivante et sereine. Ce cadre doit permettre l’épanouissement de chacun dans le culte de l’excellence Excellence citoyenne en mettant l’accent sur la discipline et les règles de savoir vivre, Excellence culturelle en développant de nombreux projets interdisciplinaires, en mettant l’accent sur la pratique assidue de langues étrangères dès l’école primaire, en développant la maîtrise de la personne et l’expression par le théâtre. Excellence physique par les pratiques sportives proposées dans nos murs, Excellence spirituelle en proposant de nombreuses réflexions, un parcours catéchétique et des célébrations où chacun peut se retrouver quelle que soit sa confession d’origine. Excellence des résultats qui doivent permettre à la mesure des possibilités de chacun de se dépasser pour choisir une orientation qui lui correspondra. 1857 En 1857, Sœur MESSIET, fille de la Charité et ses compagnes transforment le bureau de bienfaisance de la commune de Montmartre en Maison de Charité » dotée d’une école destinée à accueillir les enfants pauvres de ce faubourg de Paris. 1881 Après avoir acheté un terrain vague autour de la rue Championnet, nouvellement tracée, la Compagnie des Filles de la Charité installe en 1881 l’école et le dispensaire dans de nouveaux bâtiments. 1898 En 1898, l’école est rattachée à la chapelle Notre Dame du Bon Conseil et aux frères de Saint-Vincent de Paul qui s’installent dans ce quartier populaire et ouvrier. L’école s’agrandit, une vingtaine de sœurs y travaillent. En 1882, un an après l’ouverture de la nouvelle école, sont construits à proximité les ateliers de la Compagnie Générale des Omnibus, lointain ancêtre de la RATP. 1944 Pendant l’Occupation 1940-1944 les ateliers sont transformés par les Allemands en usine d’armement et représentent une cible stratégique pour les Alliés. Dans la nuit du 21 au 22 avril 1944, les bombardements sur le secteur de la Chapelle provoquent des destructions importantes. L’école et le dispensaire sont anéantis…heureusement la Providence veille, il n’y aura aucune victime parmi les soeurs et les élèves, la statue de la Vierge située dans la cour est même retrouvée intacte ! 1957 Dans l’urgence, les soeurs se réfugient au 47 rue Montcalm, l’école y demeurera jusqu’en 1953. En 1951, commencent les travaux pour reconstruire l’école et le dispensaire rue Championnet, ils sont achevés en 1953 et en 1957, le cardinal FELTIN honore de sa présence les festivités liées au centenaire de la fondation. Les liens se renforcent alors avec la toute nouvelle Paroisse Notre Dame du Bon Conseil érigée en 1948. En 1963, un nouveau bâtiment est construit pour faire face à la demande de plus en plus importante. 1973 En 1973, le nombre d’enfants ayant considérablement augmenté, le jardin d’enfants est transféré au 22 rue des Amiraux. 1975 En 1975, c’est la séparation de l’école en trois établissements pour répondre à la loi HABY L’école Sainte-Marie Le collège Saint-Vincent Le lycée Charles de Foucauld 1986 En 1986, le lycée Charles de Foucauld est transféré au 5 rue de La Madone en lieu et place du collège La Madone. Celui-ci fusionne avec le collège Sainte-Marie pour devenir un seul et même collège qui prendra le nom de collège Saint-Vincent. 2010 En 2010, le lycée Charles de Foucauld et le groupe scolaire Sainte-Marie-Saint-Vincent fusionnent de nouveau pour former le groupe scolaire de La Madone. 2018 En septembre 2018, le Campus des Roses, situé face au Lycée Charles de Foucauld, est inauguré. Il accueille les étudiants en BTS et les apprentis en Licence professionnelle. Le Groupe scolaire la Madone poursuit ainsi sa croissance et enrichit son offre de formation. Évènements en août 2022 Agenda Navigation par Calendrier mensuel Août 2022 lun. mar. mer. jeu. ven. sam. dim. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 1 2 3 4 Action SolidaritéAnnonces importantesAssociation sportiveAteliersCNRDInscriptionJournées d'intégrationPastoraleProjets CulturelsProjets PédagogiquesRésultatsSorties scolairesThéâtreVoyages Actualité Réservez vos places à l'Odéon pour le 30e spectacle des Tréteaux et P'Tits Tréteaux ! Trouvezdans les environs de Paris Moulin de la Vièrge un médecin du sport (ou un professionnel pratiquant des actes de médecine du sport) proposant la prise de rendez-vous en ligne. Centre de santé Saint-Jacques . 810 m. Centre de santé. Consultation vidéo disponible. En savoir plus. 1 spécialiste en médecine physique et de réadaptation. 37 Rue des Volontaires 75015 Paris