Lecontrat Fine Art by Hiscox rĂ©pond Ă  vos exigences en tant que collectionneurs (particuliers et entreprises) et protĂšge vos objets d’art et de collection dans le monde entier : peintures, dessins, sculptures, caves Ă 
L'intĂ©rĂȘt des Français pour l'art s'intensifie, comme en tĂ©moigne notamment le succĂšs des Ă©ditions 2017 de la FIAC et de Paris Photos. Un Français sur quatre se dit prĂȘt Ă  acquĂ©rir une oeuvre d' art contemporain*. L'art est devenu une valeur refuge qui a Ă©chappĂ© aux diffĂ©rentes crises Ă©conomiques des derniĂšres dĂ©cennies. A cet Ă©gard, la fiscalitĂ© française se rĂ©vĂšle avantageuse, que les amateurs soient animĂ©s d'un authentique intĂ©rĂȘt artistique ou dĂ©coratif ou seulement de la perspective de rĂ©aliser une opĂ©ration lucrative dans le cadre d'une gestion diversifiĂ©e de leur Ă  d'autres places » du marchĂ© de l'art comme la Suisse, Singapour ou Monaco, la France ne dispose pas - hors entrepĂŽt sous douane - de port franc permettant d'importer et d'exporter des oeuvres d'art en franchise de droits. NĂ©anmoins, le systĂšme fiscal français est d'impĂŽt sur la dĂ©tentionLa propriĂ©tĂ© d'oeuvres d'art demeure avantageuse au plan fiscal tant pour les entreprises que pour les d'ISF jusqu'en 2017, l'art est aujourd'hui purement et simplement exclu de l'assiette de l'impĂŽt sur la fortune immobiliĂšre issu de la loi de finances pour d'oeuvres originales d'artistes vivants, sous rĂ©serve d'ĂȘtre exposĂ©es au public pendant la durĂ©e de l'amortissement, est admis en dĂ©duction du rĂ©sultat imposable de l'entreprise. Ce type d'incitation permet aux sociĂ©tĂ©s françaises tant de soutenir les artistes et leur art que de vĂ©hiculer les valeurs de leur de TVA parmi les plus bas d'EuropeSi l'acquisition d'une oeuvre d'art est en principe soumise Ă  la TVA au taux normal 20 %, les acquisitions rĂ©alisĂ©es en France directement auprĂšs des artistes ou de leurs ayants-droit sont soumises au taux rĂ©duit de TVA de 5,5 %, soit l'un des plus bas relevĂ©s dans l'Union europĂ©enne. Aucune TVA n'est applicable Ă  l'acquisition rĂ©alisĂ©e auprĂšs d'un vendeur non-assujetti Ă  des opĂ©rations internationales, les importations d'oeuvres hors Union europĂ©enne sont soumises Ă  la TVA au taux de 5,5 % et les exportations sont intĂ©gralement exonĂ©rĂ©es. Enfin, une TVA de 10 % s'applique aux cessions de droits patrimoniaux des artistes et pour les livraisons d'oeuvres d'art rĂ©alisĂ©es par les entreprises assujetties qui les ont utilisĂ©es pour les besoins de leurs exploitations, notamment les galeries d'art. Par ailleurs, aucun droit de douane n'est forfaitaire de 6,5 % sur la venteEn cas de vente d'oeuvres d'art par un particulier, une taxe forfaitaire de 6,5 % dont 0,5 % au titre de la CRDS s'applique de plein droit sur le prix de vente, mĂȘme en l'absence de facture d'achat. L'imposition forfaitaire est particuliĂšrement avantageuse en cas de dĂ©tention de courte durĂ©e de l'oeuvre et de plus-value est toutefois possible d'opter pour l'impĂŽt sur le revenu au taux de 19 %, auquel s'ajoutent les prĂ©lĂšvements sociaux 17,2 %, applicable sur le montant de la plus-value. Cette option peut ĂȘtre intĂ©ressante car un mĂ©canisme d'abattement de 5 % par annĂ©e de dĂ©tention Ă  partir de la 3e annĂ©e conduit Ă  une exonĂ©ration complĂšte de l'impĂŽt sur le revenu et des prĂ©lĂšvements sociaux au-delĂ  de vingt-deux ans de dĂ©tention. Cette option suppose toutefois de pouvoir fournir une facture d'achat pour Ă©tablir Ă  la fois la durĂ©e de dĂ©tention et le prix d'acquisition de l'oeuvre cĂ©dĂ©e. Toute vente dont le prix de cession n'excĂšde pas 5 000 euros n'est pas de l'organisation successoraleLa transmission d'une oeuvre d'art par donation ou par succession est imposĂ©e aux droits de mutation Ă  titre gratuit comme tout autre est recommandĂ© d'anticiper toute transmission d'oeuvres d'art en France, en ayant par exemple recours au mĂ©canisme de la donation-partage qui permet de dĂ©terminer la valeur de l'oeuvre au moment de la donation qui ne peut ĂȘtre remise en cause lors de la succession. Enfin, les hĂ©ritiers peuvent payer leurs droits de succession en cĂ©dant Ă  l'Etat une oeuvre. La dation en paiement est suspensive du paiement des droits et ne gĂ©nĂšre pas d'intĂ©rĂȘt de retard, quelle que soit la dĂ©cision finale de l' loi de finances pour 2018 confirme une fiscalitĂ© française avantageuse des oeuvres d'art. Collectionneurs et simples amateurs peuvent donc continuer Ă  admirer et agrandir leurs collections en bĂ©nĂ©ficiant d'une fiscalitĂ© douce.
Leprésent contrat est strictement limité à l'exposition publique de ces originaux dans les conditions prévues au paragraphe 1. Aucune reproduction, sous quelque forme que ce soit (photographie, photocopie, etc. ..) n'est autorisée sans un
Masquer les articles et les sections abrogĂ©s Naviguer dans le sommaire du code Livre III Des diffĂ©rentes maniĂšres dont on acquiert la propriĂ©tĂ© Articles 711 Ă  2278Titre X Du prĂȘt Articles 1874 Ă  1914 Article 1874 Il y a deux sortes de prĂȘt Celui des choses dont on peut user sans les dĂ©truire ;Et celui des choses qui se consomment par l'usage qu'on en premiĂšre espĂšce s'appelle " prĂȘt Ă  usage ".La deuxiĂšme s'appelle " prĂȘt de consommation ", ou simplement " prĂȘt ".Chapitre Ier Du prĂȘt Ă  usage, ou commodat Articles 1875 Ă  1891Section 1 De la nature du prĂȘt Ă  usage. Articles 1875 Ă  1879Le prĂȘt Ă  usage est un contrat par lequel l'une des parties livre une chose Ă  l'autre pour s'en servir, Ă  la charge par le preneur de la rendre aprĂšs s'en ĂȘtre 1876CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Ce prĂȘt est essentiellement 1877CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Le prĂȘteur demeure propriĂ©taire de la chose 1878CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Tout ce qui est dans le commerce, et qui ne se consomme pas par l'usage, peut ĂȘtre l'objet de cette engagements qui se forment par le prĂȘt Ă  usage passent aux hĂ©ritiers de celui qui prĂȘte, et aux hĂ©ritiers de celui qui si l'on n'a prĂȘtĂ© qu'en considĂ©ration de l'emprunteur, et Ă  lui personnellement, alors ses hĂ©ritiers ne peuvent continuer de jouir de la chose 2 Des engagements de l'emprunteur. Articles 1880 Ă  1887L'emprunteur est tenu de veiller raisonnablement Ă  la garde et Ă  la conservation de la chose prĂȘtĂ©e. Il ne peut s'en servir qu'Ă  l'usage dĂ©terminĂ© par sa nature ou par la convention ; le tout Ă  peine de dommages-intĂ©rĂȘts, s'il y a 1881CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Si l'emprunteur emploie la chose Ă  un autre usage, ou pour un temps plus long qu'il ne le devait, il sera tenu de la perte arrivĂ©e, mĂȘme par cas 1882CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Si la chose prĂȘtĂ©e pĂ©rit par cas fortuit dont l'emprunteur aurait pu la garantir en employant la sienne propre, ou si, ne pouvant conserver que l'une des deux, il a prĂ©fĂ©rĂ© la sienne, il est tenu de la perte de l' 1883CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Si la chose a Ă©tĂ© estimĂ©e en la prĂȘtant, la perte qui arrive, mĂȘme par cas fortuit, est pour l'emprunteur, s'il n'y a convention 1884CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Si la chose se dĂ©tĂ©riore par le seul effet de l'usage pour lequel elle a Ă©tĂ© empruntĂ©e, et sans aucune faute de la part de l'emprunteur, il n'est pas tenu de la 1885CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 L'emprunteur ne peut pas retenir la chose par compensation de ce que le prĂȘteur lui 1886CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Si, pour user de la chose, l'emprunteur a fait quelque dĂ©pense, il ne peut pas la 1887CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Si plusieurs ont conjointement empruntĂ© la mĂȘme chose, ils en sont solidairement responsables envers le 3 Des engagements de celui qui prĂȘte Ă  usage. Articles 1888 Ă  1891Article 1888CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Le prĂȘteur ne peut retirer la chose prĂȘtĂ©e qu'aprĂšs le terme convenu, ou, Ă  dĂ©faut de convention, qu'aprĂšs qu'elle a servi Ă  l'usage pour lequel elle a Ă©tĂ© 1889CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 NĂ©anmoins, si, pendant ce dĂ©lai, ou avant que le besoin de l'emprunteur ait cessĂ©, il survient au prĂȘteur un besoin pressant et imprĂ©vu de sa chose, le juge peut, suivant les circonstances, obliger l'emprunteur Ă  la lui 1890CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Si, pendant la durĂ©e du prĂȘt, l'emprunteur a Ă©tĂ© obligĂ©, pour la conservation de la chose, Ă  quelque dĂ©pense extraordinaire, nĂ©cessaire, et tellement urgente qu'il n'ait pas pu en prĂ©venir le prĂȘteur, celui-ci sera tenu de la lui 1891CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Lorsque la chose prĂȘtĂ©e a des dĂ©fauts tels qu'elle puisse causer du prĂ©judice Ă  celui qui s'en sert le prĂȘteur est responsable, s'il connaissait les dĂ©fauts et n'en a pas averti l' II Du prĂȘt de consommation, ou simple prĂȘt Articles 1892 Ă  1904Section 1 De la nature du prĂȘt de consommation. Articles 1892 Ă  1897Article 1892CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Le prĂȘt de consommation est un contrat par lequel l'une des parties livre Ă  l'autre une certaine quantitĂ© de choses qui se consomment par l'usage, Ă  la charge par cette derniĂšre de lui en rendre autant de mĂȘme espĂšce et 1893CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Par l'effet de ce prĂȘt, l'emprunteur devient le propriĂ©taire de la chose prĂȘtĂ©e ; et c'est pour lui qu'elle pĂ©rit, de quelque maniĂšre que cette perte ne peut pas donner Ă  titre de prĂȘt de consommation des choses qui, quoique de mĂȘme espĂšce, sont diffĂ©rentes, comme les animaux alors c'est un prĂȘt Ă  qui rĂ©sulte d'un prĂȘt en argent n'est toujours que de la somme Ă©noncĂ©e au y a eu augmentation ou diminution d'espĂšces avant l'Ă©poque du paiement, le dĂ©biteur doit rendre la somme prĂȘtĂ©e, et ne doit rendre que cette somme dans les espĂšces ayant cours au moment du 1896CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 La rĂšgle portĂ©e en l'article prĂ©cĂ©dent n'a pas lieu si le prĂȘt a Ă©tĂ© fait en 1897CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Si ce sont des lingots ou des denrĂ©es qui ont Ă©tĂ© prĂȘtĂ©s, quelle que soit l'augmentation ou la diminution de leur prix, le dĂ©biteur doit toujours rendre la mĂȘme quantitĂ© et qualitĂ©, et ne doit rendre que 2 Des obligations du prĂȘteur. Articles 1898 Ă  1901Article 1898CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804Dans le prĂȘt de consommation, le prĂȘteur est tenu de la responsabilitĂ© Ă©tablie par l'article 1891 pour le prĂȘt Ă  1899CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Le prĂȘteur ne peut pas redemander les choses prĂȘtĂ©es avant le terme 1900CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 S'il n'a pas Ă©tĂ© fixĂ© de terme pour la restitution, le juge peut accorder Ă  l'emprunteur un dĂ©lai suivant les 1901CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 S'il a Ă©tĂ© seulement convenu que l'emprunteur payerait quand il le pourrait, ou quand il en aurait les moyens, le juge lui fixera un terme de paiement suivant les 3 Des engagements de l'emprunteur. Articles 1902 Ă  1904Article 1902CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 L'emprunteur est tenu de rendre les choses prĂȘtĂ©es, en mĂȘme quantitĂ© et qualitĂ©, et au terme 1903CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 S'il est dans l'impossibilitĂ© d'y satisfaire, il est tenu d'en payer la valeur eu Ă©gard au temps et au lieu oĂč la chose devait ĂȘtre rendue d'aprĂšs la convention. Si ce temps et ce lieu n'ont pas Ă©tĂ© rĂ©glĂ©s, le paiement se fait au prix du temps et du lieu oĂč l'emprunt a Ă©tĂ© 1904CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Si l'emprunteur ne rend pas les choses prĂȘtĂ©es ou leur valeur au terme convenu, il en doit l'intĂ©rĂȘt du jour de la sommation ou de la demande en III Du prĂȘt Ă  intĂ©rĂȘt. Articles 1905 Ă  1914Article 1905CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Il est permis de stipuler des intĂ©rĂȘts pour simple prĂȘt soit d'argent, soit de denrĂ©es, ou autres choses 1906CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 L'emprunteur qui a payĂ© des intĂ©rĂȘts qui n'Ă©taient pas stipulĂ©s ne peut ni les rĂ©pĂ©ter ni les imputer sur le 1907CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 L'intĂ©rĂȘt est lĂ©gal ou conventionnel. L'intĂ©rĂȘt lĂ©gal est fixĂ© par la loi. L'intĂ©rĂȘt conventionnel peut excĂ©der celui de la loi, toutes les fois que la loi ne le prohibe pas. Le taux de l'intĂ©rĂȘt conventionnel doit ĂȘtre fixĂ© par 1908CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 La quittance du capital donnĂ©e sans rĂ©serve des intĂ©rĂȘts en fait prĂ©sumer le paiement et en opĂšre la 1909CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804On peut stipuler un intĂ©rĂȘt moyennant un capital que le prĂȘteur s'interdit d' ce cas, le prĂȘt prend le nom de " constitution de rente ".Article 1910CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804Cette rente peut ĂȘtre constituĂ©e de deux maniĂšres, en perpĂ©tuel ou en 1911CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 La rente constituĂ©e en perpĂ©tuel est essentiellement rachetable. Les parties peuvent seulement convenir que le rachat ne sera pas fait avant un dĂ©lai qui ne pourra excĂ©der dix ans, ou sans avoir averti le crĂ©ancier au terme d'avance qu'elles auront 1912CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Le dĂ©biteur d'une rente constituĂ©e en perpĂ©tuel peut ĂȘtre contraint au rachat 1° S'il cesse de remplir ses obligations pendant deux annĂ©es ; 2° S'il manque Ă  fournir au prĂȘteur les sĂ»retĂ©s promises par le 1913CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804 Le capital de la rente constituĂ©e en perpĂ©tuel devient aussi exigible en cas de faillite ou de dĂ©confiture du 1914CrĂ©ation Loi 1804-03-09 promulguĂ©e le 19 mars 1804Les rĂšgles concernant les rentes viagĂšres sont Ă©tablies au titre " Des contrats alĂ©atoires ".
Collectionnerdes Ɠuvres d’art. Mise Ă  jour le 24 janvier 2019. la finance pour tous. L’art est un placement « plaisir » qui demande de la patience et souvent de la passion. Cela reste tout de mĂȘme un investissement raisonnĂ© qui peut vous permettre Ă©ventuellement de rĂ©aliser des plus-values. Mais attention aux escroqueries !
Le contrat de commande est un contrat par lequel le commanditaire demande Ă  l’artiste la rĂ©alisation d’une Ɠuvre dĂ©terminĂ©e et rĂ©munĂšre sa prestation, l’artiste s’engageant Ă  rĂ©aliser l’Ɠuvre. Il peut spĂ©cifier le genre, le style, le format, la matiĂšre, le sujet, ou toute autre spĂ©cification. Il peut Ă©galement apporter des moyens matĂ©riels et humains pour la rĂ©alisation de l’oeuvre. L’artiste reste libre de sa crĂ©ation. Le contrat de commande ne portant que sur l’acquisition du support de l’Ɠuvre, toute exploitation, exposition publique ou reproduction affiches, plaquettes, catalogue... doit ĂȘtre prĂ©vue au contrat. Le contrat d'exploitation Contrat par lequel un artiste-auteur s’engage Ă  livrer un nombre donnĂ© d’Ɠuvres en contrepartie d’une rĂ©munĂ©ration. Le marchand s’assure gĂ©nĂ©ralement l’exclusivitĂ© de la production et s’engage Ă  assurer la promotion de l’artiste-auteur. Certains contrats dits de premiĂšre vue » prĂ©voient l’engagement de l’artiste-auteur de prĂ©senter ses nouvelles Ɠuvres en prioritĂ© au marchand. Ce dernier est libre de les acquĂ©rir ou non, l’artiste-auteur disposant librement des Ɠuvres non retenues. Le contrat de production est le contrat dans lequel le partenaire de l’auteur prend en charge les frais de rĂ©alisation. L’Ɠuvre reste en gĂ©nĂ©ral propriĂ©tĂ© de l’artiste. S’il y a ensuite acquisition, le commanditaire producteur peut introduire dans le contrat une clause lui permettant d’ĂȘtre indemnisĂ© pour son apport. Il ne peut en revanche ĂȘtre considĂ©rĂ© comme co-auteur de l’Ɠuvre, sauf s’il est une personne physique dont l’apport Ă  la crĂ©ation mise en forme porte l’empreinte de sa personnalitĂ©. Le contrat de rĂ©alisation est le contrat dans lequel le partenaire de l’auteur prend en charge les frais de rĂ©alisation. L’Ɠuvre reste en gĂ©nĂ©ral propriĂ©tĂ© de l’artiste-auteur. S’il y a ensuite acquisition par un tiers, le commanditaire producteur peut introduire dans le contrat une clause lui permettant d’ĂȘtre indemnisĂ© pour son apport. Il ne peut en revanche ĂȘtre considĂ©rĂ© comme coauteur de l’Ɠuvre, sauf s’il est une personne physique dont l’apport Ă  la crĂ©ation mise en forme porte l’empreinte de sa personnalitĂ©. Le contrat de dĂ©pĂŽt le dĂ©pĂŽt est un acte par lequel on reçoit la chose d’autrui, Ă  la charge de la garder et de la restituer en nature » Code civil, article 1915. Il ne porte que sur le support matĂ©riel de l’Ɠuvre. Il concerne les galeries, pour une exposition, assortie de vente il s’accompagne alors d’un mandat de vente. Il concerne aussi les photographes en vue de l’exploitation par leur agence. Le dĂ©positaire a l’obligation de restituer l’Ɠuvre au terme du contrat, sous rĂ©serve d’avoir Ă©tĂ© payĂ© des frais ou du prix du dĂ©pĂŽt droit de rĂ©tention. Le contrat de prĂȘt concerne l’usage de l’Ɠuvre, principalement pour les expositions temporaires. Le contrat de travail se distingue du contrat de commande par l’existence d’un lien de subordination juridique exĂ©cution sous le contrĂŽle de l’employeur, dans les locaux de l’entreprise. Toutefois, l’auteur reste titulaire des droits sur l’Ɠuvre créée, qui doit faire l’objet d’un contrat de cession de droits, sauf dans le cas de la crĂ©ation d’oeuvres collectives, ou l’employeur est titulaire des droits. Le contrat de prestations de services se distingue du contrat de commande par l’existence d'activitĂ©s n'entrant pas dans le champ de la Maison des Artistes et que Brigitte Morillon pratique sous la dĂ©nomination L'Art in Business©. Source Le contrat d"exposition conformĂ©mement Ă  l'article L122- du CPI. Toute exposition fait l'objet d'un contrat de ReprĂ©sentation Monstration conformĂ©mement Ă  cet article, le rĂ©glement se fait par un acompte de 50% Ă  la signature du contrat d'exposition et du solde le jour et avant l'accrochage des oeuvres. Le montant de l'achat d'une oeuvre ne saurait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une rĂ©duction du montant dĂ» pour le droit d'exposition. Il en va de mĂȘme lorsque qu'une Ă©dition est programmĂ©e Ă  partir de l'image de l'oeuvre, ou bien sur d'autres Droits d'auteurs. Le contrat de vente de biens ou de marchandise est un contrat par lequel un vendeur s'engage Ă  livrer une chose, et un acheteur Ă  la payer et en prendre livraison. Ce contrat a pour objet le transfert de propriĂ©tĂ© d'un bien. Il ne peut donc pas s'appliquer Ă  la vente de service. Le code de la consommation prĂ©voit des dispositions spĂ©cifiques protĂ©geant les consommateurs concluants des ventes avec des professionnels. Le contrat de vente de service est une convention conclue Ă  titre onĂ©reux entre deux parties un prestataire et son client dĂšs qu’il y a fourniture de services. Les parties ont chacune des obligations rĂ©ciproques qu’elles doivent respecter. Ces obligations permettent d’apprĂ©hender sereinement leurs relations. Un service consiste Ă  mettre Ă  disposition une capacitĂ© technique, intellectuelle ou un travail, directement utile pour l’usager, sans transformation de matiĂšre.
Laccord du salariĂ©. Pour commencer, l’entreprise doit obtenir l’ accord du salariĂ© concernant sa mise Ă  disposition dans un prĂȘt de main d’Ɠuvre. En effet, il n’est pas possible de l’imposer au salariĂ©. Le Code du travail (art. L. 8241-2) stipule bien que tout salariĂ© refusant une mise Ă  disposition auprĂšs d’une autre Le Contrat de prĂȘt d’oeuvre d’art ? Le Contrat de prĂȘt d’oeuvre d’art est Ă  utiliser lorsqu’une personne morale ou physique dispose d’une collection d’Ɠuvres d’art qu’elle souhaite mettre Ă  la disposition de tiers notamment pour un prĂȘt aux musĂ©es, pour une durĂ©e dĂ©terminĂ©e. Le PrĂȘteur, dans le cadre de sa politique de promotion des artistes, a gĂ©nĂ©ralement pour mission de faire circuler et de proposer au public le plus largement possible lesdites oeuvres d’art. DurĂ©e du Contrat de prĂȘt d’Ɠuvre d’art Le Contrat de prĂȘt d’oeuvre d’art fixe la durĂ©e du prĂȘt. Celle-ci correspond en gĂ©nĂ©ral Ă  la durĂ©e de l’exposition. Chaque Ɠuvre d’art restituĂ©e avec retard peut entraĂźner l’application automatique d’une pĂ©nalitĂ© contractuelle calculĂ©e par jour de retard. Contrat de prĂȘt d’oeuvre d’art CoĂ»t du prĂȘt Le CoĂ»t du prĂȘt est Ă©galement fixĂ© par le Contrat de prĂȘt d’oeuvre d’art. Le PrĂȘteur doit de rĂ©server le droit d’annuler et/ou suspendre toute prestation de prĂȘt et/ou toute livraison d’Ɠuvre d’art en cas de non paiement, refus de paiement ou chĂšque sans provision Ă©mis par l’Emprunteur. Image des Ɠuvres Le PrĂȘteur consent Ă  l’Emprunteur une autorisation gratuite de reproduction de l’image des Ɠuvres d’art, pour la durĂ©e de l’exposition et pour une durĂ©e fixĂ©e contractuellement sur son Site internet. La cession des droits de reproduction de l’image des Ɠuvres du PrĂȘteur est Ă©galement accordĂ©e pour les supports rĂ©alisĂ©s Ă  l’occasion de l’exposition catalogue, photographie, prospectus 
. Le dĂ©pĂŽt de l’Ɠuvre L’Emprunteur est en charge du dĂ©pĂŽt des Ɠuvres d’art et devient gardien de la chose au sens du Code civil, pour toute la durĂ©e de l’exposition et cela dĂšs le retrait de l’Ɠuvre aux lieux et dates indiquĂ©s par le PrĂȘteur. TĂ©lĂ©chargez ce ModĂšle de Contrat de prĂȘt d’oeuvre d’art 10 pages, Format Word. [paiddownloads id=”67″] Suivez l’actualitĂ© du droit de la propriĂ©tĂ© intellectuelle avec Vous avez recherchĂ©yhs-fh_lsonsw 3 Contrats fondamentaux de l’art contemporain ‱ Contrat d’acquisition d’Ɠuvre. ‱ Contrat de prĂȘt d’Ɠuvre. ‱ Contrat de commande et de production d’Ɠuvre. OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES À l’issue de cette formation, le stagiaire sera en mesure de : → Comprendre les fondamentaux du droit des contrats. → ApprĂ©hender les spĂ©cificitĂ©s du droit moral et Contratde prĂȘt. Une fois acceptĂ©e par les 2 parties (prĂȘteur et emprunteur), l’offre de prĂȘt devient le contrat de prĂȘt. Il est trĂšs important de comprendre que le contrat principal, c’est-Ă -dire le contrat de vente du bien immobilier, est rĂ©alisĂ© sous la condition suspensive de l’obtention du prĂȘt ou des prĂȘts indiquĂ©s dans la promesse de vente. f6HEM9. 201 443 397 19 286 133 72 448 62

contrat de prĂȘt oeuvre d art